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RECITS

Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 14:47

Comme tous les matins, Justine attendait le bus avec ses copines. Il faisait frais. Il était 7h20. Elle était rentrée en 5ème deux semaines avant.

Cet été, pour son anniversaire, ses parents lui avaient acheté un smartphone. Elle faisait la grande avec ses écouteurs dans les oreilles. Ses copines faisaient pareil. Elles ne discutaient pas. Elles étaient chacune dans leur coin. Ecoutant leurs musiques préférées.

Pour Justine, c’était Kendji Girac, elle l’adorait.

Une voiture passa devant l’abribus. Justine la reconnu aussitôt. Elle la trouvait jolie, elle passait tous les matins à peu près à la même heure.

Ça devait être une Mini. Justine n’était pas sûre, elle n’y connaissait rien aux voitures. Son frère, c’était le contraire. Mais pour elle, toutes les voitures étaient pareilles. Sauf que celle-là avait des phares ronds à l’avant, elle était rigolote. En plus, elle était rouge avec un drapeau anglais sur le toit. Justine se disait chaque matin qu’elle aurait la même quand elle serait grande.

En observant la voiture, elle vit que c’était un homme qui la conduisait. Elle n’avait pas encore remarqué. Il lui fit un sourire. Justine ne put s’empêcher d’en faire un en retour. Pourtant elle ne le connaissait pas. Elle l’avait fait par innocence. Par politesse. Par réflexe.

Mais ce sourire lui avait donné de l’entrain. Chaque matin elle était plutôt habituée à ce que tout le monde fasse la moue. C’était normal. C’était le matin. Tout le monde était fatigué. Tout le monde était dans ses pensées. Dans l’organisation de la journée. Ses copines écoutaient de la musique. Les garçons jouaient à des jeux sur leurs téléphones en faisant du bruit dans tous les sens.

Les garçons étaient vraiment pénibles à cet âge-là !

Elle n’était donc pas habituée à recevoir un sourire de si bonne heure. Même sa mère avec qui elle déjeunait le matin faisait la tête. Impossible de lui parler avant qu’elle n’ait pris sa douche. Son frère était déjà parti quand elle déjeunait.

Le sourire de l’homme à la voiture rouge lui fit du bien toute la journée.

Il recommença le lendemain. Puis le surlendemain.

Quelques semaines passèrent. Justine se rendit compte qu’elle attendait son sourire tous les matins. C’était le sien. Au début elle était hésitante. Elle s’était demandé si l’homme lui souriait à elle ou à une de ses copines. Elle n’avait pas osé demander, de peur de passer pour une nulle. Mais jour après jour, elle avait compris que le sourire lui était bien adressé. C’était sûr. C’était son secret. C’était son petit cadeau de la journée. C’était son petit kiff à elle. A elle seule.

Elle n’en avait pas parlé à ses copines. Elle n’en parlerait pas.

Un matin, la voiture rouge ne passa pas. Justine monta dans le bus en regardant la route au loin. Rien.

Dans le bus, elle se mit du côté de la fenêtre, se disant que si la voiture rouge était en retard, elle arriverait et doublerait le bus. Non. Elle ne la vit pas. Sa journée fut morne. Morose. A certains moments, Justine se trouva stupide de ne penser qu’à ça. Ce n’était pas si grave. Mais elle y pensa toute la journée. Quelque chose lui manquait. Un petit vide pas loin de son cœur. Une petite case non remplie.

Le lendemain la voiture ne passa pas non plus. Elle ne passa pas de la semaine. Justine en fût attristée. En plus, c’était la semaine avant les vacances de la Toussaint. Elle aurait dû être contente.

Non. Elle ne verrait pas la voiture rouge, ni l’Homme-à-la-voiture-rouge pendant les deux semaines suivantes.

Pendant les vacances, elle vit une voiture semblable. Son frère lui confirma que c’était une Mini. Elle passa deux semaines seule. Sa mère travaillait. L’après-midi, son frère revenait vers 14h00. Il travaillait chez un sous-traitant de PSA. Du matin.

Chaque jour, elle pensa à la voiture rouge. A l’homme qui lui souriait gentiment. Chaque jour elle avait un vide. Un petit nœud qui se nouait dans le bas de son ventre. Justine, au début des vacances, pensait que cela passerait. Non.

Plus les jours passaient, plus le manque était présent. Plus son ventre était noué.

Cela tourna à l’obsession.

Justine se força à occuper tout son temps. L’après-midi avec son frère ça allait. C’est le matin qui était long. Elle dormait jusqu’à 9h00 en général. Mais déjà dans son lit elle pensait au sourire. Ce joli sourire. Cette jolie bouche souriante au milieu d’une barbe de trois jours. Elle sentait ce titillement dans son ventre avait de se lever.

Elle déjeunait. Seule. Puis allait prendre une douche. C’était la période où Justine découvrait son corps. Elle appréciait de se savonner. Chaque jour, dans la glace elle regardait ses petits seins pousser. Ses poils aussi. Ils apparaissaient entre ses cuisses. Dans son intimité. Justine grandissait. Elle était fière.

Après la douche les devoirs. Après les devoirs, le temps était long jusqu’à 14h00. Elle préférait déjeuner avec son frère, quitte à attendre un peu. C’était moins triste. Elle tournait en rond dans la maison, écoutant de la musique, regardant la télévision.

Elle passa quand même beaucoup de temps dans sa chambre, à rêver à son sourire quotidien. Elle dessinait des cœurs dans son journal intime. Elle écrivait ce qu’elle ressentait. Mais c’était difficile parce qu’elle ne savait pas bien ce qu’elle ressentait. Elle finissait par écrire quelques mots. Sourire. Voiture rouge. Drapeau anglais. Garçon… puis elle finissait par des cœurs. Des cœurs de toutes les couleurs, de toutes les tailles.

Le matin de la rentrée, elle s’était faite jolie. Des couettes, un minishort salopette en jean, des collants roses et un petit blouson en jean que sa mère lui avait acheté pendant les vacances. Justine se plaça en avant de l’abribus. Mine de rien. Discrètement. Elle faisait semblant d’être absorbée par la musique qui lui emplissait les oreilles. Elle ne voulait pas être distraite par ses copines.

La voiture arriva. Justine se liquéfia. Cela faisait trois semaines qu’elle ne l’avait pas vue. Elle s’était faite tellement de films dans sa tête. Elle avait imaginé que la voiture allait s’arrêter devant elle, que l’homme allait lui proposer de l’emmener au collège et qu’elle en descendrait, fière, la tête haute devant ses copines mortes de jalousie.

Non. La voiture passa. L’homme lui fit un sourire. Comme avant, rien de plus, rien de spécial. Elle put voir qu’il avait un beau costume cravate. Noire. Chemise blanche. Cravate fine, noire également. Il avait dû prendre une semaine de vacances avant ses vacances à elle !

Pour le reste, elle s’était vraiment faite des films. Elle repensa à tous les cœurs dans son journal. Tous les picotements dans son bas-ventre lorsqu’elle se prenait à rêver. Les jolies fringues qu’elle avait mises ce matin. Tout ça pour ça. Un sourire. Pas plus.

La semaine suivante, le mardi, Justine manqua son bus. De peu. Elle avait couru comme une dératée. Mais non. Elle n’avait pas réussi à l’avoir. Elle l’avait juste vu s’éloigner au loin. Elle avait trainé dans la salle de bain un peu plus que d’habitude. Elle n’avait pas vu l’heure.

Une voiture s’arrêta vers elle. Une Mini rouge. La fenêtre côté passager s’ouvrit. Justine vis son visage de près pour la première fois. Il était craquant.

Elle était intimidée. Bouche bée. Essoufflée d’avoir couru. Il parla. Elle ne l’entendit qu’à moitié. C’était un rêve, il était trop mignon. Trop craquant avec sa barbe de trois jours bien taillée. Il était brun. Il avait son costume cravate et une trop jolie voiture.

Il lui dit bonjour gentiment. Elle bredouilla un pauvre « bonjour » en réponse…

Il lui demanda si elle voulait qu’il l’emmène au lycée. « Au collège » rectifia Justine immédiatement. Il sourit et lui dit qu’elle faisait plus que son âge. Il ouvrit la porte. Elle eut une petite appréhension. Ses parents lui martelaient au moins deux fois par semaine de ne pas monter avec des inconnus. D’accord. Mais valait-il mieux être en retard au collège ou monter avec un inconnu ?

Et encore. Justine se disait qu’il n’était pas un inconnu puisqu’ils se rendaient un sourire chaque matin depuis deux mois. Elle avait vraiment l’impression de le connaitre. Il lui était familier. Elle s’assit dans la voiture. Elle se sentit soudain comme une grande. A l’intérieur ça sentait bon. Il avait un parfum délicieux.

Justine fut troublée quelques instants. Elle mit sa ceinture. Il démarra. Il baissa la radio. Justine sentait son cœur battre. Elle se sentait bête. Elle ne savait pas quoi dire. Elle regardait ses genoux puis lâcha un « vous avez vraiment une jolie voiture ». Il la remercia. Il se présenta, toujours en souriant :

« Je m’appelle Thomas, et vous ?

- Justine. »

Ce qu’elle ressentait était curieux. Un mélange de peur et de fierté. Elle était toute seule avec un mec dans une voiture. C’était la première fois. Si ses copines le savaient, elles seraient mortes de jalousie !

Il lui posa beaucoup de questions. Elle répondait vite pour combler le vide. Elle se sentait cruche des fois. Il lui souriait. En quelques kilomètres il sut presque tout de sa vie. Le nombre de ses frères et sœurs. Leurs prénoms. Comment elle vivait. Où. Ce qu’elle aimait comme musique. Son âge. Les prénoms de ses copines. Si elle avait un copain. Bref, tout :

« Je te laisse un peu avant le collège ?

- Oui, c’est mieux. »

Justine aurait été fière de sortir de l’auto devant ses copines, mais au fond d’elle elle savait qu’il valait mieux éviter. Il fallait qu’elle garde ça pour elle. Ce serait son secret. Son jardin secret.

Elle sortit de la voiture en lui souriant. Il était vraiment chou. Elle ne savait toujours rien sur lui. Ni son âge, ni s’il vivait seul. Rien.

Elle n’avait pas osé lui demander.

Elle arriva au collège à l’heure et dit à ses copines que sa mère l’avait amené en voiture. Elle se sentait toute chose. Epuisée. Comme si elle était venue en courant. La peur et les émotions lui avaient pompé toute son énergie. Elle sentait que sa petite culotte était un peu mouillée entre ses cuisses. Comme quand elle faisait du vélo des fois. Cela lui faisait une drôle de petite sensation agréable dans le bas de son ventre.

Elle pensa à Thomas toute la journée. Thomas et sa petite voiture rouge. Elle dessina des cœurs partout dans ses cahiers. Comme une gamine. Ce qu’elle était cruche !

 

pour contacter l'auteur: alexia.peyret@outlook.fr

Par Alexia Peyret - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 22:03

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N'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez!!!

 

Bises

 

Sophie

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 20:50

Go sur:

 

 

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et surtout dites-moi ce que vous en pensez!!!

 

Bises

 

Sophie

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Vendredi 15 mai 5 15 /05 /Mai 13:44

Un petit extrait:


"Il se plaça derrière elle, se mit accroupi et elle ne le vit plus, il était presque caché par ses jambes, mais elle senti immédiatement quelque chose qui la pénétrait, doucement, sans violence. C’était dans ses fesses."

 

Le chapitre 4 est sorti!!

 

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Bonne lecture par ce jour de pluie

 

Sophie

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 21:15

Vous pouvez suivre son évolution sur:


 www.histoiresetrecitserotiques.over-blog.com

 

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Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 23:29

La chapitre XIII est publié...

 

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Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : LesMeilleursBlogsdeSexe
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Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 23:26

Sophie se réveilla en sursaut comme tous les matins à 5h30. Alain était à coté d’elle, il ronflait toujours. Il n’entendait jamais le vibreur de son portable. Il ne devait pas l’entendre. Seule Sophie percevait les vibrations du téléphone. Les instructions avaient été claires. Elle devait prendre le téléphone d’Alain tous les soirs, le placer dans un préservatif, se l’enfoncer dans les fesses, et au petit matin, lorsqu’il vibrait dans ses entrailles elle devait réveiller son maître en douceur, en lui faisant une fellation...


Sophie Delane

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 21:29

Le chapitre XII vient de sortir!!!

 

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Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 21:50

Le chapitre XI de "Mon Oncle ce salaud" est sorti sur mon tumblr... www.melankoliex.tumblr.com

 

Bonne lecture!!!

 

Sophie

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 21:33

Les vacances avaient mal commencé. Lorsque ma mère a appris mon redoublement elle a été très désagréable. Elle m’a dit que je commencerais par aller chez le coiffeur, que je devais me reprendre et devenir plus sociable. Pour elle, si je redoublais ma 6ème, je n’étais qu’un bon à rien, je ne ferais jamais rien de ma vie. Je lui ai répondu qu’il était hors de question que j’aille chez le coiffeur et que redoubler n’était pas si grave.
Nous avons été acheter des cahiers de vacances pour que je travaille un peu tous les jours. Mon oncle a pris la nouvelle différemment. Lorsque nous avons été seuls tous les deux, il m’a avoué que j’avais bien fait de redoubler, et que nous aurions une année de plus pour profiter de nos mercredis matin en tête à tête. Il m’a dit ça avec son drôle de regard et un sourire bizarre. Moi j’étais partagé. Le collège ne me plaisait pas des masses. J’avais le cerveau embué par mes pensées de plus en plus noires. En fait je me fichais de redoubler ou non !
Je voulais continuer mes expériences, et vivre ma vie tranquille.
Je devais passer la première semaine des vacances chez mon oncle et ma tante. Ma mère ne serait en congés que la semaine suivante, et elle ne voulait pas que je reste seul à la maison. Je crevais d’envie de lui dire qu’une semaine avec mon oncle était surement pire qu’une semaine seul à la maison, mais je ne pouvais pas.
Je n’en voulais pas à Alain de ce qu’il me faisait, en plus c’est moi qui l’avais provoqué. Mais je m’apercevais que ça accélérait mes envies et que ça ajoutait de la confusion dans mon esprit. Moi, au début, j’avais juste envie de porter des fringues de fille en cachette. Ensuite j’ai commencé à m’occuper de lui, de son sexe. Il ne m’avait pas vraiment forcé, mais un peu quand même. J’avais aimé m’occuper de lui, de sa verge bien dure… cela m’avait excité. Par contre je n’aimais toujours pas qu’il m’embrasse sur la bouche comme il le faisait, mais je le laissais faire, j’aimais ressentir son excitation et puis j’avais peur qu’il ne livre mon secret à ma mère ou ma tante. La présentation à son client m’avait dévergondé également, je n’aurais jamais pensé croiser quelqu’un en tenue féminine. Ça m’avait donné envie de recommencer. J’y pensais souvent. Je pensais souvent au sexe de mon oncle aussi. Ce moment où il se tendait, où son corps se crispait et où le jus précieux jaillissait. J’avais eu des sueurs froides au collège la semaine avant, j’avais été refroidi. Depuis je n’avais rien fait avec mon oncle. Il m’en voulait, ça se voyait et il allait me le faire payer. J’avais refusé de m’habiller en fille ce mercredi, et j’avais refusé malgré ses menaces de m’occuper de lui et de l’embrasser. J’avais même pensé à des trucs bizarres, ce n’était pas la première fois, mais ça me hantait depuis quelques jours.
J’avais envie de me pendre. Pas pour mourir. Juste envie de me pendre, de me balancer au bout d’une corde, d’être en détresse… d’étouffer. J’avais ressenti ça une des dernières fois où mon oncle m’avais embrassé en m’étranglant à moitié. Une espèce d’envie furtive, une sensation indéfinissable. Une sorte de douleur morale, du mal-être mélangé à de l’envie et de l’excitation.
Je passerais donc la semaine chez Alain. Ma tante travaillait encore. Il y aurait ma cousine aussi. Mon oncle avait l’air triste. Nous n’étions pas seuls ! Chaque fois qu’il me croissait, il me tripotait.

Dès le premier jour, il m’avait glissé discrètement que j’allais payer ma désobéissance de la semaine précédente. Il profitait de chaque absence de ma cousine. Il l’envoyait chercher du pain par exemple.
Le lundi, il avait profité que ma cousine était justement sortie à la boulangerie,  m’avait pris de force pour me coucher sur le canapé et m’ôter mon jean. A sa grande surprise je ne portais pas de culotte féminine, mais un slip de garçon. Il a fait ce qu’il ne m’avait jamais fait. Il m’a mis une très forte claque au visage et s’est énervé. C’était quoi cette gamine qui s’habillait comme un garçon ? Tu veux que ta tante sache que tu m’as fait des avances ? Tu veux qu’elle sache que tu mets ses habits en cachette ? J’ai été surpris de la violence de sa réaction et me suis mis à pleurer.
A ce moment, il aurait pu faire ce qu’il voulait. J’avais peur, et je regrettais de l’avoir repoussé la semaine précédente.

Il a arraché mon slip, m’a dit de ne pas bouger et d’arrêter de pleurer. Il a sorti son sexe et s’est masturbé rapidement devant mon entre-jambe. Il avait l‘air d’apprécier de me voir à moitié nu devant lui, les jambes écartées et en train de retenir mes sanglotements. Ma joue me brulait. Il a fini par jouir sur le bas de mon ventre. J’ai vu immédiatement du soulagement dans ses yeux, de l’apaisement. Il a mis son doigt dans le sperme qui était sur mon bas ventre et me l’a mis dans la bouche. Il a recommencé plusieurs fois. Il m’expliquait que ce liquide était tout son amour pour moi, que c’était important de le goûter, qu’il ne le donnait qu’à ma tante et à moi. J’avais eu l’occasion de goûter mon sperme, mais je n’avais pas aimé. C’était fade et visqueux. Le sien n’échappait pas à la règle. Mais je n’ai pas refusé, de peur qu’il s’énerve à nouveau. J’ai léché son doigt plusieurs fois. Il s’était calmé. Il a été dans la cuisine prendre de l’essuie-tout et me l’a jeté pour que je me nettoie. Il m’a dit de me rhabillé rapidement et de venir fumer une cigarette dehors, que ça me ferait passer le goût de son jus. Mon slip était déchiré, je ne pouvais plus le mettre. J’ai donc mis mon jean directement et me suis dépêché de sortir. J’ai pensé qu’il ne valait mieux pas que je lui parle de ça.  je suis donc sorti, mon slip déchiré à la main pour le jeté dans la poubelle dehors.
Nous nous sommes assis sur la terrasse et il m’a proposé une cigarette. En me l’allumant, il m’a glissé gentiment mais fermement que c’était la dernière fois qu’il me voyait avec un slip de garçon, et la dernière fois que je le repoussais comme je l’avais fait les jours précédents. Il m’a promis que dans la semaine il me prouverait son attachement à moi, pour que je pense à lui pendant les trois semaines suivantes où nous serions séparés. Ils allaient partir en vacances en Bretagne avec ma tante et ma cousine, et j’allais rester seul chez ma mère.

Le soir, chez maman, l’ambiance était électrique. cela faisait quelque temps que l’on avait du mal à se parler. Elle devait ressentir mon mal-être. Mais elle me soulait avec ses questions. Elle ne se doutait de rien. Elle pensait juste que j’étais timide et renfermé. Elle m’élevait seule depuis des années. Je n’avais pas connu mon père, il nous avait quitté à ma naissance. Je n’avais jamais eu de nouvelle. A priori ma mère non plus. Sans doute la base de mes problèmes, mais à cette époque je ne le savais pas.

Le soir, après avoir mangé, ma mère allait rapidement au lit. Elle lisait un peu puis dormait rapidement. C’était une grande dormeuse, pas comme moi. C’était le moment où je faisais mes expériences, seul dans ma chambre. Je passais une bonne partie de mon temps à découper soigneusement au cutter des photos de jolies filles dans les magazines comme la Redoute ou les 3 Suisses, et je les collais sur des feuilles dans un cahier. Je les notais, je les classais. Et je finissais inexorablement par me masturber en feuilletant mes cahiers. Je cachais tout dans mon bureau, y compris le fruit de ma masturbation. Je ne sais pas pourquoi, mais à cette époque, je me masturbais dans un petit récipient en plastique (en fait un pot de cancoillotte vide) que je vidais de temps en temps dans les toilettes. J’ai dû arrêter à cause de l’odeur qui imprégnait ma chambre. Un jour ma mère s’était mise à chercher “ce-qui-puait-comme-ça”. J’étais passé à deux doigts du flagrant délit… mais finalement, elle n’avait rien trouvé. Cette recherche malheureuse avait signé la fin de ses visites dans ma chambre. Nous nous étions engueulés, j’avais failli lui mettre une baffe. Je m’en étais excusé le lendemain. Mais le mal était fait. Le fossé s’était creusé un peu plus. Tant pis, elle ne viendrait plus dans ma chambre…

Les journées avec ma cousine étaient sympas. Nous allions faire un peu de vélo le matin, nous écoutions de la musique dans sa chambre. L’après-midi,il y avait le Tour de France… il ne fallait pas faire de bruit, au risque de se faire gronder par mon oncle.

Nous avons été faire les boutiques, une fois ou deux dans la semaine. J’aimais beaucoup la voir essayer des fringues. Nous lui donnions des conseils, sa copine et moi. J’étais jaloux au fond de moi, j’aurais voulu essayer des fringues de fille aussi… Caroline me demandait souvent pourquoi je ne voulais pas aller dans des boutiques de mecs pour essayer des trucs. Si elle savait, je n’avais aucune envie de m’acheter des fringues de garçon. Je me fichais de la mode. Je lui répondais que j’avais pas trop envie, que ma mère ne m’avait pas laissé d’argent.

Le dernier jour chez mon oncle, je m’en souviendrai toujours. Dans la matinée, Caroline était sorti pour aller chez sa copine Sandrine. Elle ne devait rentrer qu’à midi. Nous étions donc seuls avec mon oncle. Je savais qu’il me réservait une surprise pour la fin de semaine, mais je ne savais pas quoi… et surtout ça me faisait un peu peur. Il était dans la cuisine et faisait cuire de la viande pour le déjeuner. Il y avait une cocotte sur le gaz et ça commençait à sentir bon.

Il m’a demandé de venir, me disant que c’était la dernière fois qu’il allait me voir seul avant trois semaines. Nous avons commencé par aller fumer une cigarette sur la terrasse. Il m’a chauffé un peu (comme il disait) en me caressant à travers le jean, puis il m’a embrassé longuement, comme à son habitude. Nous sommes retourné à la cuisine, il devait surveiller le feu sous la cocotte… et me faire la surprise tant attendue.

Arrivés dans la cuisine, il ‘a fait face en souriant, a baissé mon jean, puis ma culotte.  J’étais stupéfait et curieux. Il avait son regard bizarre. Il m’a porté pour me mettre assis face à lui sur la table de la cuisine. Il m’a regardé dans les yeux, m’a demandé si j’avais confiance en lui et si j’acceptais un cadeau inoubliable de sa part. J’avais déjà de l’appréhension, mais cette fois j’avais réellement peur. J’ai répondu par l’affirmative. Je ne voulais pas qu’il me frappe une nouvelle fois comme en début de semaine.

Quand il était dans cet état là, il valait mieux faire profil bas. Il est passé derrière moi, m’a passé une écharpe sur les yeux qu’il a attaché derrière ma tête. J’ai été très surpris, mais il a vite compensé par de gentils baisers dans le cou et sur les oreilles. Il me chuchotait en même temps de ne pas m’inquiéter, que c’était une jolie surprise, une preuve de son amour… Peu à peu, je me suis calmé, j’étais même légèrement excité. Il savait que lorsqu’il passait sa langue doucement sur mes oreilles en me les mordillant, cela me faisait beaucoup d’effet. Il me le faisait trop rarement cependant, mais cette fois j’en profitais. Il est ensuite passé devant moi, je l’ai entendu faire quelques petits bruits. je me rappelle avoir pensé qu’il retournait la viande dans sa cocotte…

Je le sentais devant moi légèrement sur le coté. Il a positionné mes mains derrière mon dos, doucement , me les maintenant fermement, frôlant ma bouche avec ses lèvres et sa langue. J’étais excité mais j’avais encore un peu d’appréhension. La pression sur mes mains s’est faite plus appuyée, le baiser sur la bouche s’est relâché, j’ai senti mon oncle se retourner… puis j’ai soudain ressenti une horrible douleur vers l’aine ou plutôt sur le pubis. Une insoutenable douleur. Mon oncle me tenait solidement les mains derrière mon dos, et appuyait en même temps quelques chose de brulant sur mon pubis. C’était atroce. Le temps de comprendre, je me suis débattu. Il a tout relâché, la douleur s’est fait moins forte, mais plus vive. J’ai arraché l’écharpe que j’avais sur les yeux, et j’ai rapidement vu le siège de ma douleur. Une odeur de cochon brûlé s’est vite dégagé dans la cuisine. Mon oncle était en retrait, une espèce de pince métallique à la main, me regardant d’un air défiant et interrogatif. Il attendait de voir ma réaction. Un sourire béat sur les lèvres. Ça piquait, ça brulait… une douleur lancinante s’était installée. Je devais vite refroidir la brûlure. Je me suis levé, j’ai pris l’éponge dans l’évier et je l’ai trempé sous l’eau froide. L’éponge humide sur ma blessure m’a soulagé d’un coup. Je suis resté un moment immobile, maintenant cette fraicheur sur mon pubis. Mon oncle est parti, sans doute pour ranger son outillage. Je n’étais même pas énervé. Je n’avais juste pas compris ce qui c’était passé. Peu à peu la douleur s’atténuait. J’ai pu regardé en détail ma blessure. C’était une sorte de “S” fait en haut à gauche de mon pubis imberbe. C’était rouge foncé. Il faisait environ deux centimètres de hauteur. Je ne comprenais pas tout. J’avais mal, et j’ai dû m’asseoir par terre pour me remettre de mes émotions. C’était donc ça sa surprise, une inscription que je garderais à vie sur mon corps. C’était impensable sur le coup. Mais la douleur était toujours là pour me rappeler la réalité.

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 22:10

Nous étions dehors, avec mon oncle, sur la terrasse. Comme souvent depuis qu’il faisait beau, il me poussait à sortir, et j’y prenais goût. Je prenais de l’assurance également, et je ne passais plus mon temps à regarder de tous les cotés si quelqu’un me voyait.

Je passais une partie de mes mercredis matin sur le transat de ma tante, à me prélasser au soleil. Au début je sortais en jupe et débardeur, puis lorsque le soleil montait dans le ciel, j‘enlevais ma jupe et mon haut pour ne garder que ma culotte et une brassière. Évidement comme me l’avait dit mon oncle, je remettais mon débardeur de temps à autre pour ne pas avoir la trace de bronzage de la brassière. Bien souvent, j’écoutais Madonna dans mon walkman. C’était mon idole et je n’écoutais qu’elle.

Mes matinées étaient rythmées par les passages de mon oncle, qui se penchait sur moi pour m’embrasser goulument sur la bouche ou sur les tétons. De temps en temps, mais plus rarement, il baissait ma culotte et prenait mon sexe dans la bouche. J’adorais. Mais cela ne durait pas longtemps, il me travaillait avec sa bouche jusqu’à ce que je sois en érection, puis il retournait à ses occupations. J’en étais frustrée.

Avec le temps, j’ai compris que c’est ce qu’il recherchait. Mais à cet age là, je croyais que c’était parce qu’il ne m’aimait pas.

Mon oncle était moins sur moi quand il faisait beau. Il s’occupait de son jardin. Et surtout il passait le plus clair de son temps à réparer des voitures dans son garage. “Au black”, comme il disait. D’ailleurs, il arrivait quelques fois que ses “clients” emmènent ou viennent reprendre une voiture pendant que j’étais là. Depuis que j’étais plus présente dehors, Alain me disait d’aller me cacher quand quelqu’un arrivait depuis le portail. Mais ce matin là, je ne l’avais pas entendu, avec mon casque sur les oreilles. Si bien que j’ai vu débarquer au coin de la maison un inconnu d’une trentaine d’année, suivi de mon oncle.

Je venais de tirer une taf de cigarette (il faut dire que je commençais à m’y habituer depuis quelques semaines), et pris de court, j’ai failli m’étouffer. Mon cœur s’était mis à battre violemment, et je suis resté sans bouger, sans savoir quoi faire. Mon oncle était devenu rouge, ce qui prouvait qu’il avait dû me prévenir et que je n’avais pas entendu. Il ne sait pas démonté et a dit au gars que j’étais sa nièce, Sophie. Il avait plus bredouillé que parlé clairement. L’homme m’a salué en me donnant du “mademoiselle”, n’oubliant pas au passage de me regarder avec insistance.

Mon oncle lui a demandé de le suivre dans la maison, visiblement il ne souhaitait pas que le type reste dans les parages. D’ailleurs, celui-ci n’était pas resté longtemps en ma présence, mais il m’avait dévisagé, puis maté de haut en bas… avec une lueur étrange dans les yeux. La même expression que mon oncle quand il était excité. L’homme a donc suivit mon oncle dans la maison. Cela ne l’a pas empêché de se retourner deux fois pour me regarder de plus belle.

J’étais resté là sans bouger, j’avais juste baisser le volume de mon walkman. Mon oncle allait sans doute me punir. Il n’aimait pas se trouver en porte-à-faux. Je me suis habillé rapidement, remettant ma jupe et mon débardeur. Mon cœur battait encore la chamade. Je n’en revenais encore pas. Quelqu’un m’avait vu habillé en fille et n’avait pas été surpris. Il avait juste été excité et curieux. Même pas moqueur. C’était aussi la première fois que mon oncle m’appelait Sophie devant quelqu’un. J’étais en train de penser que mon secret allait s’ébruiter si ce mec revenait et parlait de moi à ma tante, à ma cousine… ou aux voisins. J’en étais là dans ma réflexion quand mon tonton est réapparut avec son client.

Visiblement, il s’était calmé. Ils avaient dû boire une bière pendant que Romain (il me l’a dit après son départ) lui payait les réparations sur sa voiture. Romain, donc, arborait un large sourire. J’en ai convenu qu’il avaient parlé de moi…

Et moi, de nouveau j’étais planté là, mais habillé cette fois. En effet, je n’avais pas pu fuir pour me cacher, puisqu’ils étaient dans la maison, et ils allaient retourner au garage chercher la voiture de Romain. La terrasse étant entre les deux, je suis resté debout à attendre.

Cette fois, mon oncle a pris tout son temps. Il avait visiblement repris confiance en me voyant habillé. Il a même proposé à Romain une cigarette! Au passage il m’en a tendu une, et s’en est posé une aussi sur les lèvres. Il a allumé les trois cigarettes en commençant par moi. Je me rappelle avoir été prudente sur les premières tafs, j’avais du mal à m’habituer et je ne voulais surtout pas tousser en public!

J’étais gêné, je ne savais pas quoi faire de mes bras et de mon corps. Pour ne rien arranger, je devais trouver une contenance devant Romain qui me dévorait des yeux, sous le regard amusé de mon oncle. J’ai cru que j’allais défaillir tellement j’avais honte. Mon ventre était noué. Je savais pourquoi mon oncle m’infligeait ça. C’était pour me punir de l’avoir mis mal à l’aise quand Romain est arrivé.

Ça a été pire quand Romain a commencé à me parler. Je bredouillais des réponses courtes. Je devais avoir l’air d’une demeurée. Heureusement, la cigarette m’aidait à avoir de l’assurance. Romain voulait tout savoir sur moi, où j’allais au lycée (mon oncle lui à fait croire que j’avais 16 ans), ce que j’aimais faire le week-end, mes sports préférés… Bref, quand nous avons fini nos cigarettes, il savait tout de ma vie. Il était plutôt sympa, malgré son regard insistant, et du coup ça m’a un peu déstressé.

Lorsqu’il est parti, je n’en revenais pas d’avoir parlé à quelqu’un dans cet accoutrement.

Finalement, avait il deviné mon secret? ou alors mon secret n’était-il pas si grave que je le pensais?

Après avoir refermé le portail, mon oncle est revenu vers moi.

Il m’a dit avec beaucoup d’aplomb que comme j’étais une jolie fille de 16 ans, et qu’apparemment je n’avais pas peur de l’assumer puisque je n’étais pas allé me cacher, que je devais faire ce que font les filles de 16 ans. A savoir que dorénavant, il ne se masturberait plus, mais que ce serait moi qui lui ferait. J’étais suffisamment gêné et mal à l’aise pour ne pas envenimer les chose, et énerver mon oncle en refusant. En plus, dès la première fois que je l’ai vu, son sexe m’avait excité. J’avais donc au fond de moi la curiosité et l’envie de lui caresser le sexe. Depuis, il m’avait confié qu’il le rasait tout les mercredis matin en prenant sa douche avant que j’arrive, rien que pour moi. Je me suis dit aussi que j’avais l’habitude de me le faire régulièrement, et que ça ne serait pas si difficile.

Alain avait retiré le transat pour être bien caché du portail, puis il a baissé son pantalon et s’est allongé sur le dos. Il m’a demandé de me mettre à genoux près du transat, en me jetant un coussin pour poser sur le sol. Il m’a dit que j’avais intérêt à faire ça bien, avec tout ce qu’il avait fait pour moi depuis un an.

J’ai pris son sexe dans ma main droite en hésitant un peu. Je l’ai caressé doucement pour me rendre compte de sa forme. Je l’ai senti immédiatement durcir et prendre sa taille maximum. Il était énorme, comparé au mien. J’avais du mal à le tenir d’une seule main. Mon oncle m’a demandé de l’embrasser sur la bouche en même temps, je me suis donc penché en avant. De sa main droite il guidait ma main sur sa verge, de sa main gauche il faisait tour à tour pression sur ma nuque pour augmenter l’intensité de notre baiser, et me tripotait les fesses sous ma jupe après avoir descendu ma culotte sur mes genoux.

La position était éprouvante, j’avais du mal à respirer car il m’étouffait presque. D’un autre coté j’étais en équilibre instable avec les genoux sur le sol qui me faisaient mal malgré le cousin, et ma main gauche que je tentais d’appuyer au sol ou sur le transat suivant que mon oncle relâchait ou non la pression sur ma nuque.

Cela commençait à durer, je n’avais plus de force dans mon bras droit. C’était bien plus compliqué que de se branler soi-même. Je ne savais pas ce que ressentait Alain, si je devais aller plus vite, plus haut, plus doucement…

Au moment où je commençais à désespérer d’y arriver, j’ai senti mon oncle haleté plus fort, son sexe devenir plus dur. Je me suis appliqué. Il devait apprécier puisqu’il a lâché ma main.

Cela m’a motivé, j’ai continué de plus belle jusqu’à recevoir la traditionnelle giclée de sperme non pas sur le ventre (comme d’habitude), mais sur la main… Mon oncle en avait reçu sur son t-shirt et sur ses cuisses. Il n’avait pas apprécié. Il m’a dit que c’était bien parce que c’était la première fois, mais que la prochaine, je n’avais pas intérêt à en mettre partout!

J’ai dû aller chercher un mouchoir pour l’essuyer. Il avait l’air content de moi, mais ne m’a rien dit. Comme d’habitude.

Moi, j’avais mal partout. L’expérience avait été difficile, mais j’avais réussi. Je n’étais pas vraiment excité, mais j’avais aimé le résultat. Voir ce sexe tout violacé craché sa semence, m’avait bien plu. C’était finalement une punition plutôt sympa mais fatigante.

Au collège, les choses n’allaient pas en s’améliorant vers cette fin d’année. Ni du coté des notes, ni du coté de mes relations. J’avais acté dans ma tête depuis quelques temps que j’allais redoubler. Je m’étais relâché complétement. Je faisais juste semblant de travailler le soir à la maison, mais au collège, je n’arrivais à rien. J’étais trop préoccupé par mes expériences en solitaire ou avec mon oncle. C’était un stress permanent, et mes seuls instants de répit étaient les phases post-éjaculatoires. En cours, j’étais discret, voire même trop discret selon les professeurs. Je me tenais en général au fond de la classe, le regard songeur caché sous mes cheveux. Je regardais les filles, j’imaginais être elles, être leur copine. En dehors des cours, je me cachais, pour ne pas tomber nez à nez avec Fabrice et sa bande qui me collait de plus en plus. Plusieurs fois par jour, je continuais à aller aux toilettes pour me masturber et retomber dans un état de conscience, de remords et de regrets… C’est à cette période que Fabrice m’a fait une révélation à laquelle je ne croyais pas, puis que j’ai dû admettre rapidement.

Avec ses copains, il m’avait croisé dans les toilettes, comme à son habitude. Il me tenait par le cou, appuyé contre une cloison. Ses copains étaient autour de nous et ils se moquaient de moi. Un me tripotait les cheveux en me traitant de “tapette”, un autre s’amusait à me mettre des petites gifles sur les joues et Fabrice de sa main libre me mettait des petits coups de poing dans les parties. Il m’a dit qu’il avait appris un truc sympa sur moi… Il a dit à un de ses potes de défaire mon jean et qu’on verrait bien. Je me souviens de m’être débattu, mais sans succès, ils étaient trois et j’étais seul.

La vérité est apparu sans détour. Le jean à peine ouvert, ils ont commencé à voir que j’avais une culotte de fille. Je tremblais de colère et de honte. Comment l’avaient-t-ils su? J’étais désemparé. Mon monde de secret s’effondrait.

Je me souviens que cette vision les a désemparé. Ils m’ont relâché soudainement, le jean sur les chevilles, en me regardant d’un air dégouté. Fabrice m’a dit que j’étais trop crade, que c’était pire que ce qu’il pensait. Ses copains continuaient à regarder, sans se moquer, sans sourire. Ils étaient vraiment stupéfaits. J’ai encore entendu un “en fait, t’es vraiment une tapette…” Ils m’ont craché dessus chacun leur tour et Fabrice m’a décoché un cou de genou dans les testicules en me disant qu’on se retrouverait à la rentrée. Ils sont partis rapidement. Je me souviens être resté à sangloter toute la pause déjeuner assis sur les toilettes. J’avais mal aux testicules au début, mais cela est passé, comme d’habitude. Surtout j’avais mal à l’âme. Je me sentais seul, honteux de mes pêchés. J’avais peur que mon secret ne s’ébruite à tout le collège. Qui avait dit à ce mec que je portais des culottes féminines? Ce n’était pas mon oncle, ils ne se connaissaient pas. Quelqu’un d’autres était au courant. Qui?

Cet épisode désastreux m’a marqué et m’a refroidi pendant quelques temps. Je n’avais plus envie de recommencer, plus envie d’avoir à faire à mon oncle, plus envie de m’habiller comme une fille. Les grandes vacances sont arrivés.

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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Mardi 7 avril 2 07 /04 /Avr 22:32

Ce mercredi matin, il faisait beau. D’après mes souvenirs ça devait être début juin. Alain essayait de me faire sortir de la maison… habillée en fille bien sûr. J’avais du mal. Il me rassurait, me disait que je ne risquais rien parce que la propriété, bien que située en ville, était entourée d’une haute haie de thuyas. Il me disait que j’avais tort de rester devant la télé par un si beau soleil. Il était allé jusqu’à me faire sentir la bosse dans son pantalon, me disant que c’était la preuve qu’il m’aimait beaucoup, qu’il me trouvait belle et que je pouvais avoir confiance en lui.
Mon oncle avait une envie qu’il m’avait déjà raconté, c’était que j’aille dehors et que quelqu’un me voit. Il voulait me prouver que je ressemblais à une fille, et que personne ne verrait la différence. Mais il disait que pour cela, je devais m’habituer à être dehors chez lui, où ça ne risquait rien.
Moi, j’étais paniqué à l’idée de sortir. J’avais peur pour mon terrible secret. Il pouvait arriver le facteur, ma tante Nathalie ou encore ma cousine qui pouvaient avoir un problème au bureau ou au collège, et revenir avant l’heure.
De mercredi en mercredi, il insistait. Je n’avais pas envie. Il est devenu plus menaçant. Me disant que je ne valais pas le coup qu’il garde mon secret. Que j’étais qu’une aguicheuse.
Puis un mercredi, à force d’insister il m’a convaincu. Il m’a expliqué qu’il fallait que je me détende, et que par la même on règlerait un autre problème.
En effet, j’avais fini par lui parler prudemment des problèmes avec ses bisous sur la bouche. Enfin c’était plus des “pelles” que des bisous. Je lui avais confié que cela m’écœurait, car sa bouche avait l’odeur de la cigarette. C’était il y avait un mois ou deux. Il avait répondu en se moquant, que je faisais ma mijaurée, que je n’étais pas une “vraie” fille et que les “vraies” filles aimaient les mecs qui fumaient. Il n’y avait qu’à voir ma tante!
Nous sommes donc allé dehors sur la terrasse. C’est vrai qu’il faisait bon au soleil. J’avais une petite jupe et un T-shirt. J’avais mis des sandales compensées de ma tante. Je faisais presque la même pointure.
Ce que j’ai ressenti ce jour-là, je ne l’ai jamais oublié. Et je ne l’oublierais certainement pas.
Il s’agissait de la brise qui effleurait mes jambes et le haut de mes cuisses en passant sous la jupe… C’était exquis, délicat et très excitant. Cela m’a donné du courage et de l’entrain. Je me sentais pousser des ailes, et j’ai fait le tour de la maison, la tête haute, avec un visage radieux. C’était ce que je souhaitais depuis le début, être bien, être à l’aise, être libre…
Mon oncle était étonné de cet élan de confiance. Il en a profité pour me faire des compliments. Que j’avais l’air d’avoir 15 ans, que j’avais une démarche très féminine (il faut dire que sur ce point, il m’avait fait bosser dur depuis quelques mois!).
Je me suis allongé sur le transat. C’était agréable de sentir le soleil sur la peau. Cela faisait quelques jours que le soleil brillait, après un printemps plutôt médiocre. Alain s’est approché de moi, s’est accroupis et m’a caressé les cuisses doucement. Il m’a tendu une cigarette!
J’étais bouche bée. Tout le monde disait qu’il ne fallait pas fumer, et lui, me tendait une cigarette. Il a commencé à relativiser, en disant qu’une cigarette de temps en temps, ce n’était pas bien grave, et que si je n’avalais pas la fumée, je ne risquais rien. Il m’a surtout dit que si je fumais une cigarette avant de venir le voir, je ne sentirais plus son odeur quand il m’embrasserait. Et il adorait m’embrasser !
C’est vrai que ça lui faisait un effet incroyable. Il adorait plonger sa langue dans ma bouche, en me maintenant la nuque fortement jusqu’à ce que je le repousse pour respirer. Il le faisait de plus en plus, et j’avais du mal à ressentir la même excitation que lui.
J’étais tellement bien dehors, que j’ai pris la cigarette. Il me l’a allumé. J’ai tiré dessus… et j’ai toussé ! J’ai cru que j’allais m’étouffer, le goût était acide, acre… J’étais super déçu. Les fumeurs avaient l’air plutôt cool en général. Mon oncle était resté à côté de moi, et il rigolait !
Il m’a expliqué, tout en me caressant sous la jupe, qu’il ne fallait pas que j’avale la fumée au début, que je le ferais plus tard si j’avais envie. J’ai fumé encore trois tafs et j’ai tendu la cigarette à mon oncle. Il m’a regardé en souriant et m’a dit que je finirais par m’habituer.
Ensuite il a eu un drôle de regard, un peu dans le vide. Il a remonté mon t-shirt et a approché la cigarette près de mes tétons en me disant qu’il me montrerait des petits jeux sympas quand je serais plus grande. Il est redescendu en frôlant mon ventre et mes cuisses… puis il s’est repris, et a mis la cigarette à sa bouche. C’était un drôle de moment. J’ai eu peur un instant qu’il ne fasse tomber de la cendre et me brule. Mais c’était cette peur que j’aimais. Une peur mêlée d’excitation. Un mélange d’interdit, d’inconnu et d’envie de découvrir…
Il a fini sa cigarette. Il était toujours dans cette étrange torpeur. Il était son double, celui dont j’avais un peu peur. Celui dont je me méfiais.
Il s’est penché à nouveau sur le transat, m’a embrassé à pleine bouche pendant un long moment, et s’est retiré en me demandant si l’odeur de cigarette était toujours gênante. J’avoue qu’il avait raison. J’avais le goût dans la bouche, elle était légèrement pâteuse et son haleine à lui était beaucoup moins gênante.
Soudain, il s’est relevé, a sorti son sexe déjà bien dur de son jean et s’est caressé. Il ne me regardait même pas. Il n’était plus comme au début. Il était dans son monde.
Cette fois-ci, j’ai juste eu le temps de remonter mon t-shirt avant de recevoir son jus tiède sur le ventre. Il était tellement excité dans ces moments-là, que son plaisir venait tout de suite.
Il m’a tourné le dos en me disant que je me dépêche parce qu’il était bientôt midi. Encore une fois je me suis retrouvé seul, sur mon transat, la jupe et le t-shirt relevés, avec une coulée de sperme sur mon ventre.
Sans mouchoir pour m’essuyer.
Sans avoir eu de plaisir à part celui d’être vêtu comme une fille…

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 21:27

… Il y a eu les vacances de printemps. Comme à chaque vacances, j’en ai passé une grande partie chez mon oncle et ma tante, et quelques jours chez moi avec ma mère. Elle réussissait toujours à prendre des congés pour que nous puissions être un peu ensemble. Chez mon oncle, ça a été très difficile de tenir. L’ambiance était désastreuse. J’étais avec ma cousine toute la journée. Je crevais d’envie de m’habiller comme elle, et de passer du temps habillé avec ses fringues. Elle, elle ne se rendait compte de rien. J’étais comme un chien qui jouait avec un os sans pouvoir le toucher !!!
Mon oncle était stressé aussi. Il profitait du moindre moment seul avec moi pour me toucher. Je voyais qu’il tournait en rond dans la maison, sans pouvoir se concentrer sur quelque chose.
Pour faire baisser mon excitation et mon stress, j’allais plusieurs fois aux toilettes dans la journée pour me masturber. J’aimais bien ce moment à moi, ce moment d’intimité. Je portais une culotte que j’avais emprunté à Caroline. Et je me faisais du bien en me caressant. Ensuite, je profitais de cette phase descendante « d’après éjaculation » pour faire quelque chose… tout en regrettant ma condition !
Je me rappelle que ma cousine était partie plusieurs fois l’après-midi avec des copines à elle. Mon oncle avait sauté sur ces occasions pour s’occuper de moi. Mais ces fois-là, il était plutôt pressé… pas comme à son habitude ! Il ne savait jamais quand Caroline allait revenir. Pour aller vite, il me disait juste de me mettre en culotte, ce qui était facile puisque désormais j’en portais une presque tout le temps. Je me souviens que pour plus de discrétion, mon oncle allait m’en acheter. Comme ça je ne salissais pas celles de ma cousine, de ma tante ou de ma mère. Je les portais quelques jours et je les jetais pour ne pas que quelqu’un les retrouve. Je suspectais quand même mon oncle d’en garder quelques-unes car il me disait qu’il aimait bien les sentir…
Donc je me mettais en petite culotte, souvent dans la chambre de mon oncle et ma tante. Le lit était plus grand, et cela risquait moins d’éveiller l’attention de ma cousine si elle revenait et que son lit était froissé. Il me demandait de mettre du rouge à lèvre vite fait… et bien fait !
Je m’allongeais sur le dos. Lui, maintenant se déshabillait complètement. Il était plutôt bien fait, mais cela ne m’attirait pas beaucoup. Par contre, voir son sexe m’excitait de plus en plus. Surtout quand je le voyais grandir et se gonfler de plaisir.
Il se mettait à quatre pattes, la tête entre mes jambes, prenait mon sexe dans sa bouche et se masturbait en même temps avec sa main droite. Avec l’habitude et le manque de temps, il prenait de plus en plus ses aises avec moi. Il était moins prévenant qu’avant…
Avec sa bouche, il faisait des voyages entre mon sexe et mes lèvres. Il redescendait sur mon ventre, en passant par mes tétons, puis il se mettait à me lécher l’intérieur des cuisses… Il aimait surtout passer de mon sexe à ma bouche, pour que je sente bien mon goût il disait. Il se mettait aussi à m’embrasser dans le cou. Quand il s’occupait du haut de mon corps, je sentais sa main et son sexe près de mes cuisses. Quelques fois, il appuyait son sexe sur mes jambes en se couchant sur moi. Il m’embrassait alors à pleine bouche, presque à m’étouffer. Puis il relâchait la pression et se redressait sur ses genoux. Il finissait depuis quelques temps par m’éjaculer sur les cuisses ou le ventre. Il ne me faisait plus trop jouir dans sa bouche. J’avais l’impression que le manque de tranquillité le stressait et le poussait à penser uniquement à son propre plaisir. Il se levait rapidement pour remettre ses vêtements, comme s’il regrettait ce qu’il avait fait. Et moi, je me retrouvais allongé sur le dos, le zizi tout dur qui sortait de la culotte, avec une coulure de sperme sur le ventre… Il sortait de la chambre en me disant de refaire le lit correctement et de ne surtout pas tâcher la couette. Dès fois, il y avait des mouchoirs sur la table de nuit pour m’essuyer. Quand il y en avait pas, je devais contenir le liquide encore tiède avec ma main en me levant, et foncer à la salle de bain pour me rincer.
Je me rhabillais alors sans avoir eu mon plaisir, et avec un mauvais goût dans la bouche. Un mélange de la salive de mon oncle et du petit jus qui coule de ma verge quand il me suce…
Je pensais sans arrêt à m’habiller en fille. Pendant les vacances, c’était trop difficile. Il me tardait de nouveau les mercredis matins. Ce moment de liberté où je n’avais que mon oncle à supporter. J’avais confiance en lui maintenant, je savais qu’il ne me trahirait pas. Je pensais déjà aux vacances d’été. J’aurais de nouveau du mal à faire ce que je voulais. Il fallait donc que je profite des quelques mercredis à venir.
J’avais fini par aller chez le coiffeur sous la pression de ma mère. J’avais cependant réussi à faire une coupe qui me permettait de ressembler à une fille en me coiffant un peu, avec quelques pinces.
A l’école, c’était de pire en pire… il y avait un groupe de mecs qui me mettaient la pression. Ils étaient en 4ème et n’arrêtaient pas de me traiter de « tapette ». Pourtant je m’habillais normalement, même si j’avais presqu’en permanence une petite culotte de fille. Mais cela ne se voyait pas. Ils critiquaient mes attitudes et ma démarche… ils se moquaient de moi dans les couloirs. Ils me bloquaient aux toilettes, me mettaient des claques et des coups de genoux dans les parties. Je restais ensuite jusqu’au prochain cours à pleurer dans une cabine, n’osant plus en sortir. J’étais persuadé que tout le monde savait ce que je faisais le mercredi matin chez mon oncle. Je n’osais pas dire aux pions que des grands m’embêtaient, de peur qu’on me réponde que j’avais ce que je méritais.
Mais malgré tous ces désagréments, j’étais obnubilé par les filles du collège. Pas pour avoir des copines, mais pour leur ressembler. Pour faire comme elles, pour me maquillé et m’habillé avec de jolies fringues…

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 22:04

… Les mercredis suivants, mon oncle se contenta de me laisser m’habiller en fille, et de me faire une ou deux fellations dans la matinée. A force, il devenait content de moi, je tenais plus longtemps.

En fait, en arrivant, il attendait que sa femme et sa fille s’en aille, il verrouillait la porte (ce qu’il ne faisait pas avant!!!), et il me laissait une demi heure pour me faire belle, comme il disait. J’avais du al avec cette expression. Même si j’aimais m’habiller en fille, dans ma tête je restais un garçon. Mais pour mon oncle j’étais une fille. J’ai essayé de protester au début, mais il me demandais si j’avais déjà vu un “vrai” garçon mettre des habits de fille et se faire caresser par un homme. Je ne pouvais répondre que par la négative malheureusement.

Peu à peu j’allais m’habituer à ce qu’il me parle comme à une fille.

Ensuite, après m’être préparée (chaque fois avec une tenue différente), il aimait me regarder, me faire marcher de long en large dans la chambre de ma cousine. Il me faisait des commentaires sur ma démarche, il me prenait en photo…

Puis ensuite, il me demandait de m’allonger sur le lit pour me caresser, et cela durait jusqu’au retour de sa femme vers midi. Peu à peu il s’habituait. Moi aussi.

Il commençait par les jambes, puis le ventre. Il a commencé à m’embrasser sur la bouche. C’était bizarre. Autant quand il me suçait le sexe, c’était agréable, autant les bisous sur la bouche étaient étonnant. Au début, je détournais la tête, mais de mercredi en mercredi il arriva à ses fins. Au bout de quelques mois, il m’embrassait avec la langue. Je n’ai finalement jamais trop aimé. En y repensant aujourd’hui, je ressens même une sensation d’écœurement.

Il me déshabillait aussi de plus en plus, je finissais en général nu comme un vers. Peu à peu, il s’est mis à me caresser les fesses, doucement au début.

Là aussi j’ai découverts une drôle de sensation. Il caressait mes fesses, les effleurant, puis les prenant à pleine main. Il frôlait mon trou. Il me demandait de me mettre sur le ventre, puis à quatre pattes. Je dois avouer qu’encore aujourd’hui je me souviens de cette sensation. J’adorais qu’il me malaxe les fesses!!!

Il me demandait ensuite de me mettre à quatre pattes sur sa tête, ce qui lui permettait de me sucer en me caressant le postérieur.

Mon oncle ne se déshabillait jamais. Avec le recul, je crois qu’il n’osait pas encore.

Nous sommes resté de longs mois sans évolution notable de notre relation.

Il y a bien eu quelques “petites“ évolutions, pour rompre le train-train comme disait mon oncle. Il aimait bien après m’avoir fait une fellation m’embrasser sur la bouche. Moi je n’aimais pas. je trouvais ça sale. Mais il continuait quand même à le faire. Un jour il a même poussé un peu plus loin.

Je n’avais pas vu qu’il n’avait pas avalé mon sperme. Il s’est approché pour m’embrasser à pleine bouche et m’a lâché tout le liquide insipide dans la bouche. Je n’ai pas pu esquiver, il n’a pas relâché son étreinte jusqu’à ce que j’avale mon propre sperme.

Je l’ai repoussé et j’ai pleuré. Il s’est mis contre moi et m’a dit que je n’étais pas gentille avec lui. Il m’a expliqué qu’il faisait beaucoup de choses pour moi, qu’il me caressait, qu’il avalait mon sperme, qu’il cachait mon secret et qu’il me permettait de faire ce que j’avais envie le mercredi. Il aimait aussi me répéter que si je ne l’avais pas aguiché en m’habillant en fille, nous n’en serions pas là.

Je me suis calmé, mais j’avais le goût dans la bouche. Je suis descendu pour prendre un coca dans le frigo. Ce jour là, il m’a aussi parlé de lui et de ses envies. Comme il faisait beaucoup pour moi, je devais faire un peu pour lui.

Il m’a demandé s’il pouvait se masturber devant moi dans la chambre de Caroline. Je n’avais pas vraiment le choix. Je me suis donc allongé sur le lit. j’avais remis une culotte blanche et un petit haut rose à bretelles. Je l’ai regardé faire, en buvant mon Coca. Il était debout devant moi, en jean et en T-shirt, avec son sexe à la main. je n’avais jamais vu le sexe d’un autre garçon. Il était beaucoup plus gros et long que le miens. Il a fini par s’asseoir à coté de moi.

Il me regardait fixement. Puis il m’a demandé si j’avais déjà vu le zizi d’un autre garçon. Il m’a demandé ce que cela me faisait. Moi, j’étais animé par un mélange de curiosité, de peur et de malaise. Je venais d’éjaculer dans sa bouche, je n’étais donc plus tellement excité. Je voulais savoir ce qu’il allait faire, et en même temps je me demandais ce que je faisais là. Ce n’était pas la place d’un garçon de 11 ans. mais je me sentais tellement fautif d’avoir provoqué mon oncle, et j’avais tellement peur de ce qui pourrait arriver si quelqu’un apprenait mon secret.

Il a continué à se masturber de la main droite, tout en me caressant les cuisses de la main gauche. J’ai vu qu’à un moment sa respiration accélérait, et qu’il accentuait le mouvement de sa main. Il a fini par éjaculer sur le parquet. Je me rappellerai toujours ce moment là. Il s’est levé rapidement et m’a regardé bizarrement dans les yeux.  Il a eu un moment d’hésitation, puis il est sorti de la chambre en me disant de nettoyer le sol. Je me suis habillé et j’ai été dans la salle de bain chercher une éponge pour nettoyer.

En arrivant dans la salle de bain, j’ai vu une photo collée à la glace du meuble. C’était une photo de moi, que mon oncle avait pris quelques semaines plus tôt. J’étais en jupe, T-shirt et maquillé avec du rouge à lèvre… En la voyant, j’ai eu honte de moi. Mais en même temps, comme d’habitude, je me suis trouvé belle. J’ai pris la photo, en la retournant, j’ai vu une inscription au dos: “Sophie, tu as parcouru un joli chemin depuis quelques mois et je t’en remercie. Cependant tu as encore beaucoup de choses à apprendre. Ne t’inquiète pas, je serai là pour t’aider. Si tu es gentille avec moi, je serai gentil avec toi, et ton secret sera bien gardé.”

Le message était clair. Sophie était le prénom avec lequel il aimait m’appeler. J’étais coincé. Il m’avait déjà dit plusieurs fois que si je protestais ou parlais à quelqu’un de mon secret, il laisserait trainer des photos de moi un peu partout.

Au collège, c’était de pire en pire. Je pensais souvent à mon oncle dans la journée. J’avais beaucoup de mal à me concentrer sur mon travail et cela se ressentait sur les notes. Le deuxième bulletin n’était pas meilleure que le premier. Ma mère se posait des questions sur mon comportement. Je passais mon temps seul. J’avais l’impression que les gens qui m’entouraient étaient au courant de mon secret. En pensées, je remerciais mon oncle de ne rien dire.

Je me masturbais toujours autant, voire peut-être plus. J’avais amélioré ma méthode. De plus en plus souvent je me caressais en même temps que je me masturbais. J’aimais parcourir mon corps encore imberbe. Mon ventre, mes tétons, mes fesses et mes cuisses étant mes “morceaux” préférés. Je trouvais que c’était encore meilleur qu’avant. J’étais en permanence tiraillé entre l’envie et l’excitation d’être habillé comme une fille, et la peur de ce que cela allait entrainé, la peur d’être découvert, la peur de l’avenir. Ce tiraillement était exacerbé par les cycles “excitation - masturbation - regrets”…

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 22:03

… Mon oncle Alain était à la porte de la chambre, en train de me contempler de la tête aux pieds avec un large sourire. Il m’a dit que cette fois il en avait assez de faire semblant de monter lentement les escaliers pour me laisser le temps de m’habiller.

Il savait ce que je faisais depuis au moins trois semaines.

J’étais mort de honte. mon cœur battait la chamade et j’ai cru que j’allais m’évanouir. Dans ma tête, c’était un défilé d’idée, tout le monde serait au courant de mes activités… Ma mère, mes copains, mes profs… Mon monde était en train de s’écrouler.

Je me sentais débile, debout, à ne pas savoir quoi faire. Je baissais les yeux devant le regard de mon oncle. J’avais des bas de ma tante, une jupe à carreaux de ma cousine, un pull léger à manches longues… et surtout je m’étais mis du rouge à lèvre que j’avais emprunté à ma tante. Il était rouge vif.

En regardant légèrement sur le coté, je me suis vu dans la glace. Vingt ans après j’ai encore ce souvenir. J’étais belle, avec mes cheveux châtains mi-longs et mes habits féminins.

Le temps durait une éternité.

Enfin mon oncle s’est approché de moi. Il m’a dit gentiment qu’il ne dirait rien à personne. Mais il fallait que je sois sympa avec lui. Il m’a promis qu’il me laisserait continuer à faire ce que je faisais tous les mercredi. Si j’étais très gentil avec lui, il m’achèterait même des fringues.

Je tremblais de peur. je l’ai remercié et j’ai commencé à pleurer. il m’a pris dans ses bras, m’a allongé sur le lit de Caroline et m’a rassuré. Il me disais de ne pas m’inquiéter, qu’il garderait bien mon secret. Il a réussi à me calmer. Pendant ce temps je sentais qu’il me caressait discrètement, le long des cuisses, dans le dos…

Il a entrepris ensuite de m’embrasser sur les cuisses, puis sur les bras. Il me parlait calmement, me disant que j’étais jolie, que je sentais bon… que je n’aurais pas du m’habiller avec les habits de sa femme parce que cela lui donnait envie de m’embrasser.

A ce moment là j’étais mal à l’aise. Ce n’était pas désagréable, mais c’était bizarre. Je me sentais coupable. Coupable de lui avoir donné envie de m’embrasser.

Il a remonté mon pull et s’est mis à m’embrasser sur le ventre, doucement, puis plus appuyé. En même temps il caressait sous ma jupe, et je sentais mon sexe durcir….

Il a ôté doucement ma culotte, enfin celle de ma cousine. Puis il a pris mon sexe dans sa bouche. J’étais tellement surpris que je n’ai rien osé lui dire. En fait j’avais peur d’avoir l’air bête. Après tout c’est moi qui avais aguiché mon oncle en m’habillant avec les habits de sa femme et de sa fille.

Je devais reconnaitre que la sensation était agréable. C’était chaud, humide et doux. Il caressait mon ventre en même temps avec ses mains, jusqu’à monter à mes tétons qu’il se mit à pincer doucement.

Trop rapidement, j’ai éjaculé dans sa bouche. J’ai regretté car j’ai vu son regard dur se fixer dans le miens. J’y ai lu l’envie de plus. J’ai aussi été surpris qu’il garde tout dans sa bouche et qu’il avale. J’avais déjà goutté mon sperme, mais je trouvais ça fade. Et surtout, à chaque fois que j’ai voulu tout boire, je n’avais plus assez l’excitation de le faire. Elle était partie en même temps que l’éjaculation.

Il m‘a dit avec retenue de ne plus éjaculer aussi vite, sinon il devrait me punir. Il a continué à me caresser doucement tout en m’expliquant que je ne devais parler de ce que nous avons fait ensemble à personne. Que si j’en parlais, il ne serait plus gentil avec moi, qu’il dirait tout à ma mère, à ma tante et à ma cousine. Que je serais puni pour avoir emprunter les affaires, et que surtout je devrais être soigné dans un hôpital et que je serais loin de ma famille. Il m’a même dit que je ne pourrais sans doute jamais revenir dans la région, car tout le monde serait au courant que j’étais pas normal, et que personne ne voudrait me parler.

A un moment il a vu mon angoisse et mes larmes qui commençaient à couler sur mes joues. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, qu’il me protégerait et qu’il ferait tout pour que je grandisse dans ma famille, et que j’ai une vie normale.

Je l’ai remercié et me suis habillé rapidement car ma tante et ma cousine revenaient. Nous venions d’entendre la porte du garage s’ouvrir.

Mon oncle est vite descendu. J’étais mal, j’avais peur qu’il raconte tout à ma tante et à ma mère.

Pendant le repas, il m’a fait quelques clins d’œils qui m’ont fait rougir. Mais sans relever l’attention de ma tante. Ce jour là, je n’ai rien mangé…

 
Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : FANTASME
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