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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 22:10

Nous étions dehors, avec mon oncle, sur la terrasse. Comme souvent depuis qu’il faisait beau, il me poussait à sortir, et j’y prenais goût. Je prenais de l’assurance également, et je ne passais plus mon temps à regarder de tous les cotés si quelqu’un me voyait.

Je passais une partie de mes mercredis matin sur le transat de ma tante, à me prélasser au soleil. Au début je sortais en jupe et débardeur, puis lorsque le soleil montait dans le ciel, j‘enlevais ma jupe et mon haut pour ne garder que ma culotte et une brassière. Évidement comme me l’avait dit mon oncle, je remettais mon débardeur de temps à autre pour ne pas avoir la trace de bronzage de la brassière. Bien souvent, j’écoutais Madonna dans mon walkman. C’était mon idole et je n’écoutais qu’elle.

Mes matinées étaient rythmées par les passages de mon oncle, qui se penchait sur moi pour m’embrasser goulument sur la bouche ou sur les tétons. De temps en temps, mais plus rarement, il baissait ma culotte et prenait mon sexe dans la bouche. J’adorais. Mais cela ne durait pas longtemps, il me travaillait avec sa bouche jusqu’à ce que je sois en érection, puis il retournait à ses occupations. J’en étais frustrée.

Avec le temps, j’ai compris que c’est ce qu’il recherchait. Mais à cet age là, je croyais que c’était parce qu’il ne m’aimait pas.

Mon oncle était moins sur moi quand il faisait beau. Il s’occupait de son jardin. Et surtout il passait le plus clair de son temps à réparer des voitures dans son garage. “Au black”, comme il disait. D’ailleurs, il arrivait quelques fois que ses “clients” emmènent ou viennent reprendre une voiture pendant que j’étais là. Depuis que j’étais plus présente dehors, Alain me disait d’aller me cacher quand quelqu’un arrivait depuis le portail. Mais ce matin là, je ne l’avais pas entendu, avec mon casque sur les oreilles. Si bien que j’ai vu débarquer au coin de la maison un inconnu d’une trentaine d’année, suivi de mon oncle.

Je venais de tirer une taf de cigarette (il faut dire que je commençais à m’y habituer depuis quelques semaines), et pris de court, j’ai failli m’étouffer. Mon cœur s’était mis à battre violemment, et je suis resté sans bouger, sans savoir quoi faire. Mon oncle était devenu rouge, ce qui prouvait qu’il avait dû me prévenir et que je n’avais pas entendu. Il ne sait pas démonté et a dit au gars que j’étais sa nièce, Sophie. Il avait plus bredouillé que parlé clairement. L’homme m’a salué en me donnant du “mademoiselle”, n’oubliant pas au passage de me regarder avec insistance.

Mon oncle lui a demandé de le suivre dans la maison, visiblement il ne souhaitait pas que le type reste dans les parages. D’ailleurs, celui-ci n’était pas resté longtemps en ma présence, mais il m’avait dévisagé, puis maté de haut en bas… avec une lueur étrange dans les yeux. La même expression que mon oncle quand il était excité. L’homme a donc suivit mon oncle dans la maison. Cela ne l’a pas empêché de se retourner deux fois pour me regarder de plus belle.

J’étais resté là sans bouger, j’avais juste baisser le volume de mon walkman. Mon oncle allait sans doute me punir. Il n’aimait pas se trouver en porte-à-faux. Je me suis habillé rapidement, remettant ma jupe et mon débardeur. Mon cœur battait encore la chamade. Je n’en revenais encore pas. Quelqu’un m’avait vu habillé en fille et n’avait pas été surpris. Il avait juste été excité et curieux. Même pas moqueur. C’était aussi la première fois que mon oncle m’appelait Sophie devant quelqu’un. J’étais en train de penser que mon secret allait s’ébruiter si ce mec revenait et parlait de moi à ma tante, à ma cousine… ou aux voisins. J’en étais là dans ma réflexion quand mon tonton est réapparut avec son client.

Visiblement, il s’était calmé. Ils avaient dû boire une bière pendant que Romain (il me l’a dit après son départ) lui payait les réparations sur sa voiture. Romain, donc, arborait un large sourire. J’en ai convenu qu’il avaient parlé de moi…

Et moi, de nouveau j’étais planté là, mais habillé cette fois. En effet, je n’avais pas pu fuir pour me cacher, puisqu’ils étaient dans la maison, et ils allaient retourner au garage chercher la voiture de Romain. La terrasse étant entre les deux, je suis resté debout à attendre.

Cette fois, mon oncle a pris tout son temps. Il avait visiblement repris confiance en me voyant habillé. Il a même proposé à Romain une cigarette! Au passage il m’en a tendu une, et s’en est posé une aussi sur les lèvres. Il a allumé les trois cigarettes en commençant par moi. Je me rappelle avoir été prudente sur les premières tafs, j’avais du mal à m’habituer et je ne voulais surtout pas tousser en public!

J’étais gêné, je ne savais pas quoi faire de mes bras et de mon corps. Pour ne rien arranger, je devais trouver une contenance devant Romain qui me dévorait des yeux, sous le regard amusé de mon oncle. J’ai cru que j’allais défaillir tellement j’avais honte. Mon ventre était noué. Je savais pourquoi mon oncle m’infligeait ça. C’était pour me punir de l’avoir mis mal à l’aise quand Romain est arrivé.

Ça a été pire quand Romain a commencé à me parler. Je bredouillais des réponses courtes. Je devais avoir l’air d’une demeurée. Heureusement, la cigarette m’aidait à avoir de l’assurance. Romain voulait tout savoir sur moi, où j’allais au lycée (mon oncle lui à fait croire que j’avais 16 ans), ce que j’aimais faire le week-end, mes sports préférés… Bref, quand nous avons fini nos cigarettes, il savait tout de ma vie. Il était plutôt sympa, malgré son regard insistant, et du coup ça m’a un peu déstressé.

Lorsqu’il est parti, je n’en revenais pas d’avoir parlé à quelqu’un dans cet accoutrement.

Finalement, avait il deviné mon secret? ou alors mon secret n’était-il pas si grave que je le pensais?

Après avoir refermé le portail, mon oncle est revenu vers moi.

Il m’a dit avec beaucoup d’aplomb que comme j’étais une jolie fille de 16 ans, et qu’apparemment je n’avais pas peur de l’assumer puisque je n’étais pas allé me cacher, que je devais faire ce que font les filles de 16 ans. A savoir que dorénavant, il ne se masturberait plus, mais que ce serait moi qui lui ferait. J’étais suffisamment gêné et mal à l’aise pour ne pas envenimer les chose, et énerver mon oncle en refusant. En plus, dès la première fois que je l’ai vu, son sexe m’avait excité. J’avais donc au fond de moi la curiosité et l’envie de lui caresser le sexe. Depuis, il m’avait confié qu’il le rasait tout les mercredis matin en prenant sa douche avant que j’arrive, rien que pour moi. Je me suis dit aussi que j’avais l’habitude de me le faire régulièrement, et que ça ne serait pas si difficile.

Alain avait retiré le transat pour être bien caché du portail, puis il a baissé son pantalon et s’est allongé sur le dos. Il m’a demandé de me mettre à genoux près du transat, en me jetant un coussin pour poser sur le sol. Il m’a dit que j’avais intérêt à faire ça bien, avec tout ce qu’il avait fait pour moi depuis un an.

J’ai pris son sexe dans ma main droite en hésitant un peu. Je l’ai caressé doucement pour me rendre compte de sa forme. Je l’ai senti immédiatement durcir et prendre sa taille maximum. Il était énorme, comparé au mien. J’avais du mal à le tenir d’une seule main. Mon oncle m’a demandé de l’embrasser sur la bouche en même temps, je me suis donc penché en avant. De sa main droite il guidait ma main sur sa verge, de sa main gauche il faisait tour à tour pression sur ma nuque pour augmenter l’intensité de notre baiser, et me tripotait les fesses sous ma jupe après avoir descendu ma culotte sur mes genoux.

La position était éprouvante, j’avais du mal à respirer car il m’étouffait presque. D’un autre coté j’étais en équilibre instable avec les genoux sur le sol qui me faisaient mal malgré le cousin, et ma main gauche que je tentais d’appuyer au sol ou sur le transat suivant que mon oncle relâchait ou non la pression sur ma nuque.

Cela commençait à durer, je n’avais plus de force dans mon bras droit. C’était bien plus compliqué que de se branler soi-même. Je ne savais pas ce que ressentait Alain, si je devais aller plus vite, plus haut, plus doucement…

Au moment où je commençais à désespérer d’y arriver, j’ai senti mon oncle haleté plus fort, son sexe devenir plus dur. Je me suis appliqué. Il devait apprécier puisqu’il a lâché ma main.

Cela m’a motivé, j’ai continué de plus belle jusqu’à recevoir la traditionnelle giclée de sperme non pas sur le ventre (comme d’habitude), mais sur la main… Mon oncle en avait reçu sur son t-shirt et sur ses cuisses. Il n’avait pas apprécié. Il m’a dit que c’était bien parce que c’était la première fois, mais que la prochaine, je n’avais pas intérêt à en mettre partout!

J’ai dû aller chercher un mouchoir pour l’essuyer. Il avait l’air content de moi, mais ne m’a rien dit. Comme d’habitude.

Moi, j’avais mal partout. L’expérience avait été difficile, mais j’avais réussi. Je n’étais pas vraiment excité, mais j’avais aimé le résultat. Voir ce sexe tout violacé craché sa semence, m’avait bien plu. C’était finalement une punition plutôt sympa mais fatigante.

Au collège, les choses n’allaient pas en s’améliorant vers cette fin d’année. Ni du coté des notes, ni du coté de mes relations. J’avais acté dans ma tête depuis quelques temps que j’allais redoubler. Je m’étais relâché complétement. Je faisais juste semblant de travailler le soir à la maison, mais au collège, je n’arrivais à rien. J’étais trop préoccupé par mes expériences en solitaire ou avec mon oncle. C’était un stress permanent, et mes seuls instants de répit étaient les phases post-éjaculatoires. En cours, j’étais discret, voire même trop discret selon les professeurs. Je me tenais en général au fond de la classe, le regard songeur caché sous mes cheveux. Je regardais les filles, j’imaginais être elles, être leur copine. En dehors des cours, je me cachais, pour ne pas tomber nez à nez avec Fabrice et sa bande qui me collait de plus en plus. Plusieurs fois par jour, je continuais à aller aux toilettes pour me masturber et retomber dans un état de conscience, de remords et de regrets… C’est à cette période que Fabrice m’a fait une révélation à laquelle je ne croyais pas, puis que j’ai dû admettre rapidement.

Avec ses copains, il m’avait croisé dans les toilettes, comme à son habitude. Il me tenait par le cou, appuyé contre une cloison. Ses copains étaient autour de nous et ils se moquaient de moi. Un me tripotait les cheveux en me traitant de “tapette”, un autre s’amusait à me mettre des petites gifles sur les joues et Fabrice de sa main libre me mettait des petits coups de poing dans les parties. Il m’a dit qu’il avait appris un truc sympa sur moi… Il a dit à un de ses potes de défaire mon jean et qu’on verrait bien. Je me souviens de m’être débattu, mais sans succès, ils étaient trois et j’étais seul.

La vérité est apparu sans détour. Le jean à peine ouvert, ils ont commencé à voir que j’avais une culotte de fille. Je tremblais de colère et de honte. Comment l’avaient-t-ils su? J’étais désemparé. Mon monde de secret s’effondrait.

Je me souviens que cette vision les a désemparé. Ils m’ont relâché soudainement, le jean sur les chevilles, en me regardant d’un air dégouté. Fabrice m’a dit que j’étais trop crade, que c’était pire que ce qu’il pensait. Ses copains continuaient à regarder, sans se moquer, sans sourire. Ils étaient vraiment stupéfaits. J’ai encore entendu un “en fait, t’es vraiment une tapette…” Ils m’ont craché dessus chacun leur tour et Fabrice m’a décoché un cou de genou dans les testicules en me disant qu’on se retrouverait à la rentrée. Ils sont partis rapidement. Je me souviens être resté à sangloter toute la pause déjeuner assis sur les toilettes. J’avais mal aux testicules au début, mais cela est passé, comme d’habitude. Surtout j’avais mal à l’âme. Je me sentais seul, honteux de mes pêchés. J’avais peur que mon secret ne s’ébruite à tout le collège. Qui avait dit à ce mec que je portais des culottes féminines? Ce n’était pas mon oncle, ils ne se connaissaient pas. Quelqu’un d’autres était au courant. Qui?

Cet épisode désastreux m’a marqué et m’a refroidi pendant quelques temps. Je n’avais plus envie de recommencer, plus envie d’avoir à faire à mon oncle, plus envie de m’habiller comme une fille. Les grandes vacances sont arrivés.

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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Commentaires

Les jeunes mecs quand ils tombent sur quelqu'un de différent sont de vrais imbéciles par leur réaction. Mais le passage où l'oncle se fait sucer est magique.
J'espère que pour la suite Romain va revenir !!!!!
Bisesssssssssssssssssssssssssssssssss
commentaire n° :1 posté par : Jeanne travestie le: 14/04/2015 à 09h47

oui c'est prévu!!!

réponse de : Sophie Delane le: 16/04/2015 à 21h21
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