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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 21:33

Les vacances avaient mal commencé. Lorsque ma mère a appris mon redoublement elle a été très désagréable. Elle m’a dit que je commencerais par aller chez le coiffeur, que je devais me reprendre et devenir plus sociable. Pour elle, si je redoublais ma 6ème, je n’étais qu’un bon à rien, je ne ferais jamais rien de ma vie. Je lui ai répondu qu’il était hors de question que j’aille chez le coiffeur et que redoubler n’était pas si grave.
Nous avons été acheter des cahiers de vacances pour que je travaille un peu tous les jours. Mon oncle a pris la nouvelle différemment. Lorsque nous avons été seuls tous les deux, il m’a avoué que j’avais bien fait de redoubler, et que nous aurions une année de plus pour profiter de nos mercredis matin en tête à tête. Il m’a dit ça avec son drôle de regard et un sourire bizarre. Moi j’étais partagé. Le collège ne me plaisait pas des masses. J’avais le cerveau embué par mes pensées de plus en plus noires. En fait je me fichais de redoubler ou non !
Je voulais continuer mes expériences, et vivre ma vie tranquille.
Je devais passer la première semaine des vacances chez mon oncle et ma tante. Ma mère ne serait en congés que la semaine suivante, et elle ne voulait pas que je reste seul à la maison. Je crevais d’envie de lui dire qu’une semaine avec mon oncle était surement pire qu’une semaine seul à la maison, mais je ne pouvais pas.
Je n’en voulais pas à Alain de ce qu’il me faisait, en plus c’est moi qui l’avais provoqué. Mais je m’apercevais que ça accélérait mes envies et que ça ajoutait de la confusion dans mon esprit. Moi, au début, j’avais juste envie de porter des fringues de fille en cachette. Ensuite j’ai commencé à m’occuper de lui, de son sexe. Il ne m’avait pas vraiment forcé, mais un peu quand même. J’avais aimé m’occuper de lui, de sa verge bien dure… cela m’avait excité. Par contre je n’aimais toujours pas qu’il m’embrasse sur la bouche comme il le faisait, mais je le laissais faire, j’aimais ressentir son excitation et puis j’avais peur qu’il ne livre mon secret à ma mère ou ma tante. La présentation à son client m’avait dévergondé également, je n’aurais jamais pensé croiser quelqu’un en tenue féminine. Ça m’avait donné envie de recommencer. J’y pensais souvent. Je pensais souvent au sexe de mon oncle aussi. Ce moment où il se tendait, où son corps se crispait et où le jus précieux jaillissait. J’avais eu des sueurs froides au collège la semaine avant, j’avais été refroidi. Depuis je n’avais rien fait avec mon oncle. Il m’en voulait, ça se voyait et il allait me le faire payer. J’avais refusé de m’habiller en fille ce mercredi, et j’avais refusé malgré ses menaces de m’occuper de lui et de l’embrasser. J’avais même pensé à des trucs bizarres, ce n’était pas la première fois, mais ça me hantait depuis quelques jours.
J’avais envie de me pendre. Pas pour mourir. Juste envie de me pendre, de me balancer au bout d’une corde, d’être en détresse… d’étouffer. J’avais ressenti ça une des dernières fois où mon oncle m’avais embrassé en m’étranglant à moitié. Une espèce d’envie furtive, une sensation indéfinissable. Une sorte de douleur morale, du mal-être mélangé à de l’envie et de l’excitation.
Je passerais donc la semaine chez Alain. Ma tante travaillait encore. Il y aurait ma cousine aussi. Mon oncle avait l’air triste. Nous n’étions pas seuls ! Chaque fois qu’il me croissait, il me tripotait.

Dès le premier jour, il m’avait glissé discrètement que j’allais payer ma désobéissance de la semaine précédente. Il profitait de chaque absence de ma cousine. Il l’envoyait chercher du pain par exemple.
Le lundi, il avait profité que ma cousine était justement sortie à la boulangerie,  m’avait pris de force pour me coucher sur le canapé et m’ôter mon jean. A sa grande surprise je ne portais pas de culotte féminine, mais un slip de garçon. Il a fait ce qu’il ne m’avait jamais fait. Il m’a mis une très forte claque au visage et s’est énervé. C’était quoi cette gamine qui s’habillait comme un garçon ? Tu veux que ta tante sache que tu m’as fait des avances ? Tu veux qu’elle sache que tu mets ses habits en cachette ? J’ai été surpris de la violence de sa réaction et me suis mis à pleurer.
A ce moment, il aurait pu faire ce qu’il voulait. J’avais peur, et je regrettais de l’avoir repoussé la semaine précédente.

Il a arraché mon slip, m’a dit de ne pas bouger et d’arrêter de pleurer. Il a sorti son sexe et s’est masturbé rapidement devant mon entre-jambe. Il avait l‘air d’apprécier de me voir à moitié nu devant lui, les jambes écartées et en train de retenir mes sanglotements. Ma joue me brulait. Il a fini par jouir sur le bas de mon ventre. J’ai vu immédiatement du soulagement dans ses yeux, de l’apaisement. Il a mis son doigt dans le sperme qui était sur mon bas ventre et me l’a mis dans la bouche. Il a recommencé plusieurs fois. Il m’expliquait que ce liquide était tout son amour pour moi, que c’était important de le goûter, qu’il ne le donnait qu’à ma tante et à moi. J’avais eu l’occasion de goûter mon sperme, mais je n’avais pas aimé. C’était fade et visqueux. Le sien n’échappait pas à la règle. Mais je n’ai pas refusé, de peur qu’il s’énerve à nouveau. J’ai léché son doigt plusieurs fois. Il s’était calmé. Il a été dans la cuisine prendre de l’essuie-tout et me l’a jeté pour que je me nettoie. Il m’a dit de me rhabillé rapidement et de venir fumer une cigarette dehors, que ça me ferait passer le goût de son jus. Mon slip était déchiré, je ne pouvais plus le mettre. J’ai donc mis mon jean directement et me suis dépêché de sortir. J’ai pensé qu’il ne valait mieux pas que je lui parle de ça.  je suis donc sorti, mon slip déchiré à la main pour le jeté dans la poubelle dehors.
Nous nous sommes assis sur la terrasse et il m’a proposé une cigarette. En me l’allumant, il m’a glissé gentiment mais fermement que c’était la dernière fois qu’il me voyait avec un slip de garçon, et la dernière fois que je le repoussais comme je l’avais fait les jours précédents. Il m’a promis que dans la semaine il me prouverait son attachement à moi, pour que je pense à lui pendant les trois semaines suivantes où nous serions séparés. Ils allaient partir en vacances en Bretagne avec ma tante et ma cousine, et j’allais rester seul chez ma mère.

Le soir, chez maman, l’ambiance était électrique. cela faisait quelque temps que l’on avait du mal à se parler. Elle devait ressentir mon mal-être. Mais elle me soulait avec ses questions. Elle ne se doutait de rien. Elle pensait juste que j’étais timide et renfermé. Elle m’élevait seule depuis des années. Je n’avais pas connu mon père, il nous avait quitté à ma naissance. Je n’avais jamais eu de nouvelle. A priori ma mère non plus. Sans doute la base de mes problèmes, mais à cette époque je ne le savais pas.

Le soir, après avoir mangé, ma mère allait rapidement au lit. Elle lisait un peu puis dormait rapidement. C’était une grande dormeuse, pas comme moi. C’était le moment où je faisais mes expériences, seul dans ma chambre. Je passais une bonne partie de mon temps à découper soigneusement au cutter des photos de jolies filles dans les magazines comme la Redoute ou les 3 Suisses, et je les collais sur des feuilles dans un cahier. Je les notais, je les classais. Et je finissais inexorablement par me masturber en feuilletant mes cahiers. Je cachais tout dans mon bureau, y compris le fruit de ma masturbation. Je ne sais pas pourquoi, mais à cette époque, je me masturbais dans un petit récipient en plastique (en fait un pot de cancoillotte vide) que je vidais de temps en temps dans les toilettes. J’ai dû arrêter à cause de l’odeur qui imprégnait ma chambre. Un jour ma mère s’était mise à chercher “ce-qui-puait-comme-ça”. J’étais passé à deux doigts du flagrant délit… mais finalement, elle n’avait rien trouvé. Cette recherche malheureuse avait signé la fin de ses visites dans ma chambre. Nous nous étions engueulés, j’avais failli lui mettre une baffe. Je m’en étais excusé le lendemain. Mais le mal était fait. Le fossé s’était creusé un peu plus. Tant pis, elle ne viendrait plus dans ma chambre…

Les journées avec ma cousine étaient sympas. Nous allions faire un peu de vélo le matin, nous écoutions de la musique dans sa chambre. L’après-midi,il y avait le Tour de France… il ne fallait pas faire de bruit, au risque de se faire gronder par mon oncle.

Nous avons été faire les boutiques, une fois ou deux dans la semaine. J’aimais beaucoup la voir essayer des fringues. Nous lui donnions des conseils, sa copine et moi. J’étais jaloux au fond de moi, j’aurais voulu essayer des fringues de fille aussi… Caroline me demandait souvent pourquoi je ne voulais pas aller dans des boutiques de mecs pour essayer des trucs. Si elle savait, je n’avais aucune envie de m’acheter des fringues de garçon. Je me fichais de la mode. Je lui répondais que j’avais pas trop envie, que ma mère ne m’avait pas laissé d’argent.

Le dernier jour chez mon oncle, je m’en souviendrai toujours. Dans la matinée, Caroline était sorti pour aller chez sa copine Sandrine. Elle ne devait rentrer qu’à midi. Nous étions donc seuls avec mon oncle. Je savais qu’il me réservait une surprise pour la fin de semaine, mais je ne savais pas quoi… et surtout ça me faisait un peu peur. Il était dans la cuisine et faisait cuire de la viande pour le déjeuner. Il y avait une cocotte sur le gaz et ça commençait à sentir bon.

Il m’a demandé de venir, me disant que c’était la dernière fois qu’il allait me voir seul avant trois semaines. Nous avons commencé par aller fumer une cigarette sur la terrasse. Il m’a chauffé un peu (comme il disait) en me caressant à travers le jean, puis il m’a embrassé longuement, comme à son habitude. Nous sommes retourné à la cuisine, il devait surveiller le feu sous la cocotte… et me faire la surprise tant attendue.

Arrivés dans la cuisine, il ‘a fait face en souriant, a baissé mon jean, puis ma culotte.  J’étais stupéfait et curieux. Il avait son regard bizarre. Il m’a porté pour me mettre assis face à lui sur la table de la cuisine. Il m’a regardé dans les yeux, m’a demandé si j’avais confiance en lui et si j’acceptais un cadeau inoubliable de sa part. J’avais déjà de l’appréhension, mais cette fois j’avais réellement peur. J’ai répondu par l’affirmative. Je ne voulais pas qu’il me frappe une nouvelle fois comme en début de semaine.

Quand il était dans cet état là, il valait mieux faire profil bas. Il est passé derrière moi, m’a passé une écharpe sur les yeux qu’il a attaché derrière ma tête. J’ai été très surpris, mais il a vite compensé par de gentils baisers dans le cou et sur les oreilles. Il me chuchotait en même temps de ne pas m’inquiéter, que c’était une jolie surprise, une preuve de son amour… Peu à peu, je me suis calmé, j’étais même légèrement excité. Il savait que lorsqu’il passait sa langue doucement sur mes oreilles en me les mordillant, cela me faisait beaucoup d’effet. Il me le faisait trop rarement cependant, mais cette fois j’en profitais. Il est ensuite passé devant moi, je l’ai entendu faire quelques petits bruits. je me rappelle avoir pensé qu’il retournait la viande dans sa cocotte…

Je le sentais devant moi légèrement sur le coté. Il a positionné mes mains derrière mon dos, doucement , me les maintenant fermement, frôlant ma bouche avec ses lèvres et sa langue. J’étais excité mais j’avais encore un peu d’appréhension. La pression sur mes mains s’est faite plus appuyée, le baiser sur la bouche s’est relâché, j’ai senti mon oncle se retourner… puis j’ai soudain ressenti une horrible douleur vers l’aine ou plutôt sur le pubis. Une insoutenable douleur. Mon oncle me tenait solidement les mains derrière mon dos, et appuyait en même temps quelques chose de brulant sur mon pubis. C’était atroce. Le temps de comprendre, je me suis débattu. Il a tout relâché, la douleur s’est fait moins forte, mais plus vive. J’ai arraché l’écharpe que j’avais sur les yeux, et j’ai rapidement vu le siège de ma douleur. Une odeur de cochon brûlé s’est vite dégagé dans la cuisine. Mon oncle était en retrait, une espèce de pince métallique à la main, me regardant d’un air défiant et interrogatif. Il attendait de voir ma réaction. Un sourire béat sur les lèvres. Ça piquait, ça brulait… une douleur lancinante s’était installée. Je devais vite refroidir la brûlure. Je me suis levé, j’ai pris l’éponge dans l’évier et je l’ai trempé sous l’eau froide. L’éponge humide sur ma blessure m’a soulagé d’un coup. Je suis resté un moment immobile, maintenant cette fraicheur sur mon pubis. Mon oncle est parti, sans doute pour ranger son outillage. Je n’étais même pas énervé. Je n’avais juste pas compris ce qui c’était passé. Peu à peu la douleur s’atténuait. J’ai pu regardé en détail ma blessure. C’était une sorte de “S” fait en haut à gauche de mon pubis imberbe. C’était rouge foncé. Il faisait environ deux centimètres de hauteur. Je ne comprenais pas tout. J’avais mal, et j’ai dû m’asseoir par terre pour me remettre de mes émotions. C’était donc ça sa surprise, une inscription que je garderais à vie sur mon corps. C’était impensable sur le coup. Mais la douleur était toujours là pour me rappeler la réalité.

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : Le seXe sans tabou
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