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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 21:27

… Il y a eu les vacances de printemps. Comme à chaque vacances, j’en ai passé une grande partie chez mon oncle et ma tante, et quelques jours chez moi avec ma mère. Elle réussissait toujours à prendre des congés pour que nous puissions être un peu ensemble. Chez mon oncle, ça a été très difficile de tenir. L’ambiance était désastreuse. J’étais avec ma cousine toute la journée. Je crevais d’envie de m’habiller comme elle, et de passer du temps habillé avec ses fringues. Elle, elle ne se rendait compte de rien. J’étais comme un chien qui jouait avec un os sans pouvoir le toucher !!!
Mon oncle était stressé aussi. Il profitait du moindre moment seul avec moi pour me toucher. Je voyais qu’il tournait en rond dans la maison, sans pouvoir se concentrer sur quelque chose.
Pour faire baisser mon excitation et mon stress, j’allais plusieurs fois aux toilettes dans la journée pour me masturber. J’aimais bien ce moment à moi, ce moment d’intimité. Je portais une culotte que j’avais emprunté à Caroline. Et je me faisais du bien en me caressant. Ensuite, je profitais de cette phase descendante « d’après éjaculation » pour faire quelque chose… tout en regrettant ma condition !
Je me rappelle que ma cousine était partie plusieurs fois l’après-midi avec des copines à elle. Mon oncle avait sauté sur ces occasions pour s’occuper de moi. Mais ces fois-là, il était plutôt pressé… pas comme à son habitude ! Il ne savait jamais quand Caroline allait revenir. Pour aller vite, il me disait juste de me mettre en culotte, ce qui était facile puisque désormais j’en portais une presque tout le temps. Je me souviens que pour plus de discrétion, mon oncle allait m’en acheter. Comme ça je ne salissais pas celles de ma cousine, de ma tante ou de ma mère. Je les portais quelques jours et je les jetais pour ne pas que quelqu’un les retrouve. Je suspectais quand même mon oncle d’en garder quelques-unes car il me disait qu’il aimait bien les sentir…
Donc je me mettais en petite culotte, souvent dans la chambre de mon oncle et ma tante. Le lit était plus grand, et cela risquait moins d’éveiller l’attention de ma cousine si elle revenait et que son lit était froissé. Il me demandait de mettre du rouge à lèvre vite fait… et bien fait !
Je m’allongeais sur le dos. Lui, maintenant se déshabillait complètement. Il était plutôt bien fait, mais cela ne m’attirait pas beaucoup. Par contre, voir son sexe m’excitait de plus en plus. Surtout quand je le voyais grandir et se gonfler de plaisir.
Il se mettait à quatre pattes, la tête entre mes jambes, prenait mon sexe dans sa bouche et se masturbait en même temps avec sa main droite. Avec l’habitude et le manque de temps, il prenait de plus en plus ses aises avec moi. Il était moins prévenant qu’avant…
Avec sa bouche, il faisait des voyages entre mon sexe et mes lèvres. Il redescendait sur mon ventre, en passant par mes tétons, puis il se mettait à me lécher l’intérieur des cuisses… Il aimait surtout passer de mon sexe à ma bouche, pour que je sente bien mon goût il disait. Il se mettait aussi à m’embrasser dans le cou. Quand il s’occupait du haut de mon corps, je sentais sa main et son sexe près de mes cuisses. Quelques fois, il appuyait son sexe sur mes jambes en se couchant sur moi. Il m’embrassait alors à pleine bouche, presque à m’étouffer. Puis il relâchait la pression et se redressait sur ses genoux. Il finissait depuis quelques temps par m’éjaculer sur les cuisses ou le ventre. Il ne me faisait plus trop jouir dans sa bouche. J’avais l’impression que le manque de tranquillité le stressait et le poussait à penser uniquement à son propre plaisir. Il se levait rapidement pour remettre ses vêtements, comme s’il regrettait ce qu’il avait fait. Et moi, je me retrouvais allongé sur le dos, le zizi tout dur qui sortait de la culotte, avec une coulure de sperme sur le ventre… Il sortait de la chambre en me disant de refaire le lit correctement et de ne surtout pas tâcher la couette. Dès fois, il y avait des mouchoirs sur la table de nuit pour m’essuyer. Quand il y en avait pas, je devais contenir le liquide encore tiède avec ma main en me levant, et foncer à la salle de bain pour me rincer.
Je me rhabillais alors sans avoir eu mon plaisir, et avec un mauvais goût dans la bouche. Un mélange de la salive de mon oncle et du petit jus qui coule de ma verge quand il me suce…
Je pensais sans arrêt à m’habiller en fille. Pendant les vacances, c’était trop difficile. Il me tardait de nouveau les mercredis matins. Ce moment de liberté où je n’avais que mon oncle à supporter. J’avais confiance en lui maintenant, je savais qu’il ne me trahirait pas. Je pensais déjà aux vacances d’été. J’aurais de nouveau du mal à faire ce que je voulais. Il fallait donc que je profite des quelques mercredis à venir.
J’avais fini par aller chez le coiffeur sous la pression de ma mère. J’avais cependant réussi à faire une coupe qui me permettait de ressembler à une fille en me coiffant un peu, avec quelques pinces.
A l’école, c’était de pire en pire… il y avait un groupe de mecs qui me mettaient la pression. Ils étaient en 4ème et n’arrêtaient pas de me traiter de « tapette ». Pourtant je m’habillais normalement, même si j’avais presqu’en permanence une petite culotte de fille. Mais cela ne se voyait pas. Ils critiquaient mes attitudes et ma démarche… ils se moquaient de moi dans les couloirs. Ils me bloquaient aux toilettes, me mettaient des claques et des coups de genoux dans les parties. Je restais ensuite jusqu’au prochain cours à pleurer dans une cabine, n’osant plus en sortir. J’étais persuadé que tout le monde savait ce que je faisais le mercredi matin chez mon oncle. Je n’osais pas dire aux pions que des grands m’embêtaient, de peur qu’on me réponde que j’avais ce que je méritais.
Mais malgré tous ces désagréments, j’étais obnubilé par les filles du collège. Pas pour avoir des copines, mais pour leur ressembler. Pour faire comme elles, pour me maquillé et m’habillé avec de jolies fringues…

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS
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