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Mardi 7 avril 2 07 /04 /Avr 22:32

Ce mercredi matin, il faisait beau. D’après mes souvenirs ça devait être début juin. Alain essayait de me faire sortir de la maison… habillée en fille bien sûr. J’avais du mal. Il me rassurait, me disait que je ne risquais rien parce que la propriété, bien que située en ville, était entourée d’une haute haie de thuyas. Il me disait que j’avais tort de rester devant la télé par un si beau soleil. Il était allé jusqu’à me faire sentir la bosse dans son pantalon, me disant que c’était la preuve qu’il m’aimait beaucoup, qu’il me trouvait belle et que je pouvais avoir confiance en lui.
Mon oncle avait une envie qu’il m’avait déjà raconté, c’était que j’aille dehors et que quelqu’un me voit. Il voulait me prouver que je ressemblais à une fille, et que personne ne verrait la différence. Mais il disait que pour cela, je devais m’habituer à être dehors chez lui, où ça ne risquait rien.
Moi, j’étais paniqué à l’idée de sortir. J’avais peur pour mon terrible secret. Il pouvait arriver le facteur, ma tante Nathalie ou encore ma cousine qui pouvaient avoir un problème au bureau ou au collège, et revenir avant l’heure.
De mercredi en mercredi, il insistait. Je n’avais pas envie. Il est devenu plus menaçant. Me disant que je ne valais pas le coup qu’il garde mon secret. Que j’étais qu’une aguicheuse.
Puis un mercredi, à force d’insister il m’a convaincu. Il m’a expliqué qu’il fallait que je me détende, et que par la même on règlerait un autre problème.
En effet, j’avais fini par lui parler prudemment des problèmes avec ses bisous sur la bouche. Enfin c’était plus des “pelles” que des bisous. Je lui avais confié que cela m’écœurait, car sa bouche avait l’odeur de la cigarette. C’était il y avait un mois ou deux. Il avait répondu en se moquant, que je faisais ma mijaurée, que je n’étais pas une “vraie” fille et que les “vraies” filles aimaient les mecs qui fumaient. Il n’y avait qu’à voir ma tante!
Nous sommes donc allé dehors sur la terrasse. C’est vrai qu’il faisait bon au soleil. J’avais une petite jupe et un T-shirt. J’avais mis des sandales compensées de ma tante. Je faisais presque la même pointure.
Ce que j’ai ressenti ce jour-là, je ne l’ai jamais oublié. Et je ne l’oublierais certainement pas.
Il s’agissait de la brise qui effleurait mes jambes et le haut de mes cuisses en passant sous la jupe… C’était exquis, délicat et très excitant. Cela m’a donné du courage et de l’entrain. Je me sentais pousser des ailes, et j’ai fait le tour de la maison, la tête haute, avec un visage radieux. C’était ce que je souhaitais depuis le début, être bien, être à l’aise, être libre…
Mon oncle était étonné de cet élan de confiance. Il en a profité pour me faire des compliments. Que j’avais l’air d’avoir 15 ans, que j’avais une démarche très féminine (il faut dire que sur ce point, il m’avait fait bosser dur depuis quelques mois!).
Je me suis allongé sur le transat. C’était agréable de sentir le soleil sur la peau. Cela faisait quelques jours que le soleil brillait, après un printemps plutôt médiocre. Alain s’est approché de moi, s’est accroupis et m’a caressé les cuisses doucement. Il m’a tendu une cigarette!
J’étais bouche bée. Tout le monde disait qu’il ne fallait pas fumer, et lui, me tendait une cigarette. Il a commencé à relativiser, en disant qu’une cigarette de temps en temps, ce n’était pas bien grave, et que si je n’avalais pas la fumée, je ne risquais rien. Il m’a surtout dit que si je fumais une cigarette avant de venir le voir, je ne sentirais plus son odeur quand il m’embrasserait. Et il adorait m’embrasser !
C’est vrai que ça lui faisait un effet incroyable. Il adorait plonger sa langue dans ma bouche, en me maintenant la nuque fortement jusqu’à ce que je le repousse pour respirer. Il le faisait de plus en plus, et j’avais du mal à ressentir la même excitation que lui.
J’étais tellement bien dehors, que j’ai pris la cigarette. Il me l’a allumé. J’ai tiré dessus… et j’ai toussé ! J’ai cru que j’allais m’étouffer, le goût était acide, acre… J’étais super déçu. Les fumeurs avaient l’air plutôt cool en général. Mon oncle était resté à côté de moi, et il rigolait !
Il m’a expliqué, tout en me caressant sous la jupe, qu’il ne fallait pas que j’avale la fumée au début, que je le ferais plus tard si j’avais envie. J’ai fumé encore trois tafs et j’ai tendu la cigarette à mon oncle. Il m’a regardé en souriant et m’a dit que je finirais par m’habituer.
Ensuite il a eu un drôle de regard, un peu dans le vide. Il a remonté mon t-shirt et a approché la cigarette près de mes tétons en me disant qu’il me montrerait des petits jeux sympas quand je serais plus grande. Il est redescendu en frôlant mon ventre et mes cuisses… puis il s’est repris, et a mis la cigarette à sa bouche. C’était un drôle de moment. J’ai eu peur un instant qu’il ne fasse tomber de la cendre et me brule. Mais c’était cette peur que j’aimais. Une peur mêlée d’excitation. Un mélange d’interdit, d’inconnu et d’envie de découvrir…
Il a fini sa cigarette. Il était toujours dans cette étrange torpeur. Il était son double, celui dont j’avais un peu peur. Celui dont je me méfiais.
Il s’est penché à nouveau sur le transat, m’a embrassé à pleine bouche pendant un long moment, et s’est retiré en me demandant si l’odeur de cigarette était toujours gênante. J’avoue qu’il avait raison. J’avais le goût dans la bouche, elle était légèrement pâteuse et son haleine à lui était beaucoup moins gênante.
Soudain, il s’est relevé, a sorti son sexe déjà bien dur de son jean et s’est caressé. Il ne me regardait même pas. Il n’était plus comme au début. Il était dans son monde.
Cette fois-ci, j’ai juste eu le temps de remonter mon t-shirt avant de recevoir son jus tiède sur le ventre. Il était tellement excité dans ces moments-là, que son plaisir venait tout de suite.
Il m’a tourné le dos en me disant que je me dépêche parce qu’il était bientôt midi. Encore une fois je me suis retrouvé seul, sur mon transat, la jupe et le t-shirt relevés, avec une coulée de sperme sur mon ventre.
Sans mouchoir pour m’essuyer.
Sans avoir eu de plaisir à part celui d’être vêtu comme une fille…

Par Sophie Delane - Publié dans : RECITS - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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