Sophie et son Pays Merveilleux

Il a hanté toute mon adolescence. Il a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. 20 ans après je ne le voit plus, je lui en veux à mort… et je me sens encore coupable!

A 11 ans, en 6ème, j’ai découverts comme beaucoup de garçons “l’art de la masturbation”… je pratiquais partout et tout le temps. Après toutes ces années, je m’en souviens encore. J’avais découverts en même temps l’envie de m’habiller en fille. Je pratiquais cette activité chez ma cousine Caroline.

A cette époque je n’allais pas au collège le mercredi. C’est donc mon oncle qui me gardait, car il travaillait chez Peugeot en VSD… (vendredi samedi dimanche). Ma mère ne voulait pas que je reste seul à la maison.Elle me déposait donc à 8h30 tous les mercredi chez mon oncle Alain et ma tante Nathalie. Ils avaient une fille, Caroline, qui avait 2 ans de plus que moi. Ils vivaient dans le même quartier que ma mère et moi, à la Pépinière à Belfort. nous étions en appartement, et eux dans une petite maison de ville entourée d’un jardin.

Ma tante travaillait le mercredi matin, et ma cousine était au collège. Elles rentraient les deux vers 12h30 en général. Moi, j’avais pris l’habitude de faire mes devoirs le matin dans la chambre de Caroline.

Peu à peu, j’avais entrepris d’explorer ses tiroirs et ses placards. Mon oncle en général bricolait dans son garage et me laissait tranquille. Au bout de quelques temps, je faisais vite mes devoirs et ensuite je passais mon temps à fouiner dans les affaires de Caroline, et je me masturbais au moins quatre fois dans la matinée. Ensuite j’ai commencé à visiter la chambre de mon oncle et ma tante. J’adorais Nathalie, c’était une belle femme, très jolie, très menue et très féminine. Je tombais en extase sur ses dessous très sexy.

Ce qui devait arriver arriva. J’ai commencé à enfiler des bas de ma tante, à mettre des jupes et des fringues de ma cousine…

J’adorais me masturber en culotte de fille en me caressant les cuisses gainées de nylon. Je me regardais dans la grande glace de Caroline, en prenant des poses féminines. Je me trouvais très jolie. J’avais un physique plutôt fin, je n’étais pas très grand et je portais des cheveux mi-longs… Depuis mes nouvelles expériences, j’évitais d’aller chez le coiffeur, malgré les remarques de ma mère.

Je devenais accro sans m’en rendre compte. C’est seulement aujourd’hui que je m’en aperçois. Je ne pouvais pas me passer de me masturber, et surtout je ne pouvais plus me passer de m’habiller en fille tous les mercredi. C’était devenu mon jour préféré.

C’est à cette période que j’ai commencé à ressentir le stress qui me hante encore aujourd’hui. Un mélange d’excitation et de peur. Une angoisse permanente que je ne pouvais pas partager. Au collège je vivais ce stress en solitaire. J’avais peu de copains. J’en était arrivé à me faire du bien dans les toilettes plusieurs fois par jour pour faire baisser la pression. J’ai commencé à comprendre que je n’étais pas normal.

Dans ma classe, certains garçons ont commencé à me traiter de “tapette“ A priori j’avais des attitudes ou des postures féminines, sans que je m’en rende compte. J’étais de plus en plus seul. Je mangeais moins. Les mercredis s’enchainaient et je m’enhardissais.

Malgré la peur d’être découvert par mon oncle, je passais de plus en plus de temps habillé en fille. Au bout de quelques semaines, j’avais essayé toutes les fringues de ma cousine et de ma tante. Je mémorisais les habits qui m’allaient bien, ceux qui étaient à la bonne taille…..