Partager l'article ! Sophie Delane chez Déesse Anastasia à Mulhouse...: Je n’y avais jamais vraiment songé… mais un soir où je pianotais sur Facebook, je s ...
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Je n’y avais jamais vraiment songé… mais un soir où je pianotais sur Facebook, je suis tombée sur un profil étonnant, Déesse Anastasia à Mulhouse. Nous avons discuté, puis la fille étant plutôt sympa, je me suis laisser tenté par une séance de domination. Je ne connaissais pas.
J’avais rendez-vous un après-midi à 13h. J’étais en même temps intrigué, un peu angoissé, et surtout impatient de savoir comment cela allait se dérouler.
J’attendais en bas de l’immeuble, devant l’ascenseur, comme indiqué dans le sms. Anastasia est apparue!!!
Rien à voir avec l’archétype de la maîtresse des films SM… elle était jeune, vers les 25 ans, jolie, cheveux longs châtains, bottes à talons, jupe noire, bas résille, et un petit haut laissant deviner une poitrine moyenne mais jeune et ferme.
Nous nous sommes salués, elle avait une petite voix douce étonnante. Sincèrement, dès le début j’étais sous son charme. Elle paraissait vive, intelligente et très mure pour son age. Nous sommes entrés dans son appartement. Elle m’a fait enlever mes chaussures.
Je n’étais pas vraiment rassuré, je commençais à me sentir idiot…
Elle m’a faire faire le tour de son appartement, en me précisant de ne pas faire de bruit car son copain travaillait dans la chambre. Le cadre était posé. Elle n’était pas seule.
Elle avait une manière de parler très calme, elle maitrisait son sujet. De temps en temps, elle me regardait avec un petit sourire moqueur…. elle savait que j’étais travestie et que je me faisait appeler Sophie (grâce à Facebook!!!). Elle prenait un malin plaisir à m’appeler Sophie, et à me parler comme à une fille… alors que j’étais en homme.
Nous sommes entrés dans son salon, qui servait de Donjon, elle a fermé la porte. La pièce était sale, sentait la cigarette froide, et il régnait un désordre incroyable entre les outils de domination et les meubles d’un salon traditionnel. La pièce était spacieuse, lumineuse, l’immeuble était récent.
Elle m’a fait asseoir à coté d’elle sur un canapé. Nous avons discuté… de Sophie…. elle m’a présenté ses équipements et accessoires… puis elle a fini par m’expliquer que la séance était payante. Il y avait deux formules, un “abonnement illimité” à 200€ par mois ou une prestation à 100€ par séance.
Sans réfléchir, je lui ai expliqué que je ne comptais pas payer. Que nous avions discuté sur FB et qu’elle n’avait qu’à le préciser à ce moment là. J’étais près à me lever pour partir quand elle m’a retenu et ma dit calmement que ce serait une séance gratuite d’initiation…
J’ai accepté. Elle m’a demander l’intensité de la séance… j’ai précisé qu’il ne fallait pas trop de traces, afin que m’a femme ne se doute de rien…
Elle ma dit de me déshabiller.
Je me suis retrouvé nu devant elle. Elle se moquait de moi, m’appelant Sophie, et me tapotant avec sa cravache sur les parties génitales.
Pour commencer, elle ma demander de m’allonger sur une table basse dotée d’un trou en son centre. Je me suis exécuté, passant mon sexe et mes testicules dans le trou. J’étais à plat ventre, je devais garder les jambes tendues en l’air et la tête tendue en avant.
Tout en se moquant, en me parlant comme à une fille, et en me glissant de petites insultes… elle a commencé à me fouetter.
Les frappes étaient aléatoires. Au début doucement, puis elle a accentué le geste. La douleur était vive mais s’estompait rapidement. Je ne savais jamais ou elle allait frapper, les cuisses, les fesses, le dos… le sexe par dessous la table.
Cette fois j’étais dedans, j’étais humilié, j’avais honte, et la douleur commençait à être vive. Sous la table je voyais mon sexe durcir et s’allonger. Dans la même position, elle m’a fait lécher ses bottes… drôle de sensation. Puis elle s’est mise à alterner la cravache et les appuis avec les talons à aiguilles sur mon corps… le dos, les cuisses.
Elle m’a fait me relever. J’étais nu devant elle, en érection. Ce qui m’excitait le plus, c’est qu’il n’y avait rien de sexuel dans son attitude. Elle regardait mon sexe avec détachement, sans faire de commentaire mais avec un sourie en coin… qui voulait tout dire.
Je mes suis allongé par terre sur le dos, elle m’a piétiné avec ses talons… sur les cotes, le ventre, les partis génitales. La douleur était plus ou moins tolérable suivant l’endroit et la longueur de l’appui… j’aimais être à sa merci! Je ne bandais plus. Elle me piétinait comme un paillasson, s’appliquant à me tirer de petits cris de douleur, tout en m’insultant calmement avec mépris…………………………………..